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Critique de croix59
Une nouvelle aventure de Karen Pripie, de son dévoué second Jason et de la petite nouvelle Daisy. Spécialise des cold cases écossais, elle va devoir, alors que le Covid point son nez en Février 2020 (discrétement), enquêter sur deux anciens cas très différents l'un de l'autre. D'un coté la mort de James Auld, suspect dans la disparition de son frère Iain dix ans auparavant. Cette enquête dans la juridiction criminelle de la jeune Daisy, est confiée à Karen par Nonosse, sa chef acariatre qui cherche à rendre moins efficiente la cellule de Karen sur un cas politique car Iain faisait partie du cabinet écossais. James avait fui en France et s'était engagé dans la Legion étrangère. Durant toutes ces années, il avait soigneusement évité de revenir dans son pays natal sachant qu'il serait sans aucun doute poursuivi. Que s'est il passé?
En parallèle Karen avait débuté une enquête suite à la découverte d'un squelette dans un van garé dans le garage d'une femme morte accidentellement et découvert fortuitement par sa soeur. Menant les deux affaires en paralléle, avec Jason sur le squelette et Daisy, intégrée par choix sur le cas politique, tandis que les cas de grippe se succède, cela va devenir vite compliquée de tout gérer car Jason, laissé seul va prendre des initiatives inquietantes.
Une histoire solide, comme toujours, qui par petites touches nous parle de l'Ecosse(et L'Angleterre), du Brexit, de la déliquescence des politiques et, ici, du marché de l'art contemporain.
Des personnages immédiatements vivants et sensibles. La nouvelle venue semble prometteuse même si la maladresse chronique de Jason est toujours aussi touchante. Une vision moins sombre que son autre héros fétiche, Tony Hill.
A lire.
En parallèle Karen avait débuté une enquête suite à la découverte d'un squelette dans un van garé dans le garage d'une femme morte accidentellement et découvert fortuitement par sa soeur. Menant les deux affaires en paralléle, avec Jason sur le squelette et Daisy, intégrée par choix sur le cas politique, tandis que les cas de grippe se succède, cela va devenir vite compliquée de tout gérer car Jason, laissé seul va prendre des initiatives inquietantes.
Une histoire solide, comme toujours, qui par petites touches nous parle de l'Ecosse(et L'Angleterre), du Brexit, de la déliquescence des politiques et, ici, du marché de l'art contemporain.
Des personnages immédiatements vivants et sensibles. La nouvelle venue semble prometteuse même si la maladresse chronique de Jason est toujours aussi touchante. Une vision moins sombre que son autre héros fétiche, Tony Hill.
A lire.
