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Critique de Fenkys


DeepSix est le second volet des aventures de Patricia Hutchins, la pétillante pilote de vaisseaux interstellaire. Tout le monde attendait que le roman suivant de cette série soit la suite directe du précédent, "Les machines de dieux" mais ce n'est pas du tout le cas. Avec le recul, en ayant lu l'ensemble de la série, l'ordre des romans est logique : on entame la série par les omegas, on la clôture par les omegas. En plus, on suit chronologiquement la vie de Hutchs au fil des différents récits.

Deepsix est donc une planète de type terrestre sur le point d'entrer en collision avec une supergéante gazeuse. Cet évènement rarissime a attiré tous les spectateurs ayant les moyen de faire le voyage jusqu'au système stellaire concerné. Cette planète héberge la vie, mais ne présente aucune trace d'intelligence. Or quelques jours avant le moment fatidiques, des découvertes archéologiques d'importance sont réalisées à sa surface : non seulement une vie intelligente a existé à sa surface, mais en plus elle est toujours là. Comme à son habitude, Hutchs va transporter une équipe d'archéologue à sa surface. Suite à un accident, elle va y rester bloquer.

Le récit se déroule donc à deux niveau. À la surface de la planète, la petite équipe de Patricia Hutchins va essayer de tirer son équipe de ce mauvais pas, en découvrant au passage à quel point la civilisation passée de la planète était évoluée. Et en orbite, les spectateurs, loin d'être passif, vont mettre en oeuvre tous les moyens possible pour porter secours aux naufragés avant le moment fatidique. C'est au final un récit catastrophe mais qui a l'originalité de se passer dans l'espace. On ne peut que lui reprocher le côté extravagant des moyens mis en oeuvre pour le sauvetage. Mais malgré cela, et bien qu'il n'atteigne pas l'originalité des "Machines de Dieux", il est plutôt agréable à lire.
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