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Critique de Pascayla
La digue, second opus de la série BlackWater de Michaël McDowell est lui aussi puissant et addictif
On y retrouve les membres de la famille Caskey : Mary-Love qui continue à régenter la vie des membres de sa famille tout en menant une guerre ouverte contre Elinor, la femme de son fils Oscar, et en élevant leur fille aînée Miriam, Sister qui va s'avérer surprenante, Elinor, toujours aussi mystérieuse et calme, qui soutient son mari tout en élevant leur deuxième fille Frances...
La construction d'une digue dans la petite ville de Perdido va continuer à déchaîner passions et tensions tout en amenant de nouveaux personnages dont le rôle va être déterminant tels Early Haskew, l'ingénieur chargé des travaux ou Queenie, soeur de feue Geneviève, qui vient chercher refuge avec ses deux enfants dans la belle famille de sa soeur.
L'ambiance est toujours aussi mystérieuse, la présence de cette digue en devenir ajoutant un degré de tension supplémentaire alors qu'elle enferme la rivière dans un couloir de terre argileuse. le brouillard qui vient nimber les propriétés Caskey est angoissant.
Elinor n'est plus aussi vindicative contre cette construction mais on s'aperçoit très vite qu'elle agit de sorte à ce que la rivière garde sa puissance quoi qu'il advienne.
Au sein d'une atmosphère oppressante, teintée de surnaturel tout autant que de petites touches d'humour, nous allons assister à cette construction menée par des ouvriers peu fréquentables, à une fête de Noël à l'issue imprévue, et à de nombreux phénomènes entre magie, fantastique et horreur.
J'ai adoré et lu d'une traite ce second volet. L'auteur nous y apporte les éléments au compte-gouttes, distillant les informations au gré de scènes familiales, économiques (on approche de la crise de 1929), sociales qui mêlent fantastique et portrait de société. L'écriture est fluide, limpide, bien loin des remous troubles de la BlackWater et de ses secrets... Troisième tome à venir...
Lien : https://livres.comme.l.air.com
On y retrouve les membres de la famille Caskey : Mary-Love qui continue à régenter la vie des membres de sa famille tout en menant une guerre ouverte contre Elinor, la femme de son fils Oscar, et en élevant leur fille aînée Miriam, Sister qui va s'avérer surprenante, Elinor, toujours aussi mystérieuse et calme, qui soutient son mari tout en élevant leur deuxième fille Frances...
La construction d'une digue dans la petite ville de Perdido va continuer à déchaîner passions et tensions tout en amenant de nouveaux personnages dont le rôle va être déterminant tels Early Haskew, l'ingénieur chargé des travaux ou Queenie, soeur de feue Geneviève, qui vient chercher refuge avec ses deux enfants dans la belle famille de sa soeur.
L'ambiance est toujours aussi mystérieuse, la présence de cette digue en devenir ajoutant un degré de tension supplémentaire alors qu'elle enferme la rivière dans un couloir de terre argileuse. le brouillard qui vient nimber les propriétés Caskey est angoissant.
Elinor n'est plus aussi vindicative contre cette construction mais on s'aperçoit très vite qu'elle agit de sorte à ce que la rivière garde sa puissance quoi qu'il advienne.
Au sein d'une atmosphère oppressante, teintée de surnaturel tout autant que de petites touches d'humour, nous allons assister à cette construction menée par des ouvriers peu fréquentables, à une fête de Noël à l'issue imprévue, et à de nombreux phénomènes entre magie, fantastique et horreur.
J'ai adoré et lu d'une traite ce second volet. L'auteur nous y apporte les éléments au compte-gouttes, distillant les informations au gré de scènes familiales, économiques (on approche de la crise de 1929), sociales qui mêlent fantastique et portrait de société. L'écriture est fluide, limpide, bien loin des remous troubles de la BlackWater et de ses secrets... Troisième tome à venir...
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