Michael Beard , sexagénaire rondouillard et narcissique, prix Nobel de physique, se livre à un auto-apitoiement assez lassant.
Ses cinq épouses successives, ses non-choix de femmes et d'orientation de carrière, ses congratulations personnelles, son absence de scrupules dans tous les domaines, son opportunisme….
le tout avec des explications scientifiques longues et détaillées sur le réchauffement climatique, plus que lassantes elles aussi.
Bref, je n'avais pas été sensible à «
Samedi », du même auteur, j'ai été contente d'en finir avec ce livre, «
Solaire », et je pense que je ne renouvellerai pas l'expérience avec cet auteur.
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