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Critique de Verdure35
Un premier roman bien » usiné » à l'américaine dans un bon atelier d'écriture.
Je n'ai pas été touchée par ce livre, il me manque quelque chose, et pourtant ce n'est pas le pathos qui manque :
Un enfant , Jarred, déboussolé par la mort de sa mère, puis la descente aux enfers de son père Jack, des « bétises » de plus en plus graves jusqu'à un accident qui le mettra en fauteuil roulant, tout en tuant sa passagère. Retour au bercail en fauteuil après 10 ans d'absence, difficultés de compréhension entre père et fils, et enfin peut-être l'acceptation de l'amour d'une jeune femme Sarah.
Ce Jarred a été déclaré bipolaire lors d'un internement passager, et le lâche c'est lui, c'est ce qu'il déclare à Sarah page 235, sinon on peut se poser la question. Il est peut-être bon de préciser qu'il pourrait s'agir d'une bio.
Je n'ai pas été touchée par ce livre, il me manque quelque chose, et pourtant ce n'est pas le pathos qui manque :
Un enfant , Jarred, déboussolé par la mort de sa mère, puis la descente aux enfers de son père Jack, des « bétises » de plus en plus graves jusqu'à un accident qui le mettra en fauteuil roulant, tout en tuant sa passagère. Retour au bercail en fauteuil après 10 ans d'absence, difficultés de compréhension entre père et fils, et enfin peut-être l'acceptation de l'amour d'une jeune femme Sarah.
Ce Jarred a été déclaré bipolaire lors d'un internement passager, et le lâche c'est lui, c'est ce qu'il déclare à Sarah page 235, sinon on peut se poser la question. Il est peut-être bon de préciser qu'il pourrait s'agir d'une bio.
