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Critique de Librincanto
Si vous cherchez un bon page turner, pas de doute, vous avez fait le bon choix. Les chapitres qui se succèdent avec de nouveaux rebondissements, l'envie de connaître la suite, le suspense, l'esprit machiavélique et insoutenable. Les éléments indispensables au thriller sont bien présents.
Cependant, quelques éléments, comme souvent dans les romans à suspense, m'ont perturbée et ont gâché mon plaisir.
Dans la dernière partie, les éléments s'enchaînent à vitesse grand V par rapport au début. Un décalage narratif qui m'a déroutée.
Le récit s'emballe et, étrangement, l'adrénaline ne suit plus. C'est totalement décousu, on passe d'un chapitre à l'autre sans transition, on jongle entre passé et présent sans un vrai fil rouge si ce n'est de révéler peu à peu les maillons de la chaîne jusqu'à remonter au fermoir.
Mais un fil rouge qu'on tirerait d'une pelote de laine avec patience et logique d'abord, puis qu'on déviderait d'un seul coup, comme par magie. C'est trop facile, trop rapide, trop décevant. Quel dommage.
Et je vous épargne les motifs un peu tirés par les cheveux qui expliquent la genèse de la chaîne. Les faits sont, certes, inspirés de faits réels, mais l'imagination a pris le dessus sur la plausibilité à mon sens. Et que dire de la scène finale, dans la maison de campagne, totalement surréaliste.
Un début prometteur qui s'est rapidement essoufflé par un emballement vide de sens. Un développement de la psychologie des personnages aurait apporté plus de profondeur au thriller.
Cependant, quelques éléments, comme souvent dans les romans à suspense, m'ont perturbée et ont gâché mon plaisir.
Dans la dernière partie, les éléments s'enchaînent à vitesse grand V par rapport au début. Un décalage narratif qui m'a déroutée.
Le récit s'emballe et, étrangement, l'adrénaline ne suit plus. C'est totalement décousu, on passe d'un chapitre à l'autre sans transition, on jongle entre passé et présent sans un vrai fil rouge si ce n'est de révéler peu à peu les maillons de la chaîne jusqu'à remonter au fermoir.
Mais un fil rouge qu'on tirerait d'une pelote de laine avec patience et logique d'abord, puis qu'on déviderait d'un seul coup, comme par magie. C'est trop facile, trop rapide, trop décevant. Quel dommage.
Et je vous épargne les motifs un peu tirés par les cheveux qui expliquent la genèse de la chaîne. Les faits sont, certes, inspirés de faits réels, mais l'imagination a pris le dessus sur la plausibilité à mon sens. Et que dire de la scène finale, dans la maison de campagne, totalement surréaliste.
Un début prometteur qui s'est rapidement essoufflé par un emballement vide de sens. Un développement de la psychologie des personnages aurait apporté plus de profondeur au thriller.
