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Critique de mauriceandre
Salut les Babelionautes
Je continue La saga Vorkosigan de Loïs McMaster Bujold avec Komarr
Dans la parfaite ligne que l'avenir de Miles a pris dans le tome précédant, elle nous invite sur la planète Komarr, (pour ceux qui ne sont pas au fait de l'histoire c'est la planète qui c'était alliée avec les Cetagandais pour envahir Barayar et dont la conquête a valu au père de Miles le surnom "de boucher de Komarr).
Miles y arrive dans son rôle d'Auditeur Impérial, pour enquêter sur un accident qui a détruit une partie du miroir stellaire sensé palier a l'insuffisance de clarté Solaire.
Mais très vite il va être confronté a une nouvelle conspiration dont le but nous apparaîtra qu'a la fin du livre.
Notre bon Miles a rangés son armure spatiale et a chaussé les bottes d'Hercule Poirot et du commissaire Maigret.
Et Miles va encore tomber amoureux d'une manière qui lui est propre tout en résolvant la mission.
Car c'est a une enquête qu'elle nous convie , et c'est très bien imaginé, sauf que si on retire tout ce qui a trait a l'Espace ce n'est plus de la Science Fiction.
Encore une fois je remercie le traducteur, Henri Letissier, qui a fait un superbe travail.
Je continue La saga Vorkosigan de Loïs McMaster Bujold avec Komarr
Dans la parfaite ligne que l'avenir de Miles a pris dans le tome précédant, elle nous invite sur la planète Komarr, (pour ceux qui ne sont pas au fait de l'histoire c'est la planète qui c'était alliée avec les Cetagandais pour envahir Barayar et dont la conquête a valu au père de Miles le surnom "de boucher de Komarr).
Miles y arrive dans son rôle d'Auditeur Impérial, pour enquêter sur un accident qui a détruit une partie du miroir stellaire sensé palier a l'insuffisance de clarté Solaire.
Mais très vite il va être confronté a une nouvelle conspiration dont le but nous apparaîtra qu'a la fin du livre.
Notre bon Miles a rangés son armure spatiale et a chaussé les bottes d'Hercule Poirot et du commissaire Maigret.
Et Miles va encore tomber amoureux d'une manière qui lui est propre tout en résolvant la mission.
Car c'est a une enquête qu'elle nous convie , et c'est très bien imaginé, sauf que si on retire tout ce qui a trait a l'Espace ce n'est plus de la Science Fiction.
Encore une fois je remercie le traducteur, Henri Letissier, qui a fait un superbe travail.
