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Critique de pollulux
J'avais entendu parler très positivement des romans du Clan des Otoris, ce qui m'a donné envie de lire cette adaptation graphique. La couverture est très belle. On plonge très facilement dans l'univers de ce Japon du XVIè siècle divisée en trois clans qui s'opposent :
- le clan Tohan dirigé par Iida Sadamu ;
- le clan des Otoris qui a écrasé une défaite majeure dans la plaine de Yaegahara et qui est dirigé par les deux oncles d'Otori Shigeru depuis la mort de son père dans cette bataille ;
- le clan Seishuu dirigée par Dame Maruyama.
L'histoire commence par la fuite de Takeo (un invisible, les premiers chrétiens du Japon) qui a désarçonné Iida Sadamu alors qu'il massacrait les gens de son village. Otori Shigeru lui vient en aide, le prend sous son aile et désire l'adopter, lui qui a perdu sa femme et son fils jadis. Takeo va révéler avoir des pouvoirs extraordinaires hérités de tribus anciennes. Une nuit, on attente à la vie de Shigeru et grâce à Takeo, le pire est évité même si on ignore qui a commandité le meurtre. Parallèlement, le lecteur suit Shirakawa Kaede, jeune fille retenue en otage pour acheter une forme de paix et de neutralité entre les clans. Elle a l'âge d'être mariée mais a la réputation de faire mourir ses prétendants. Plusieurs intrigues s'entremêlent et le suspense est de mise pour la fin de ce premier tome qui donne clairement envie de (re)découvrir le roman.
Je n'ai pas forcément aimé le style du dessin, en revanche j'ai beaucoup aimé les couleurs. Les scènes peuvent être tout à fait poétiques comme violentes et plus sombres suivant l'intrigue. En résumé, une jolie découverte qui me donne envie de feuilleter le roman.
- le clan Tohan dirigé par Iida Sadamu ;
- le clan des Otoris qui a écrasé une défaite majeure dans la plaine de Yaegahara et qui est dirigé par les deux oncles d'Otori Shigeru depuis la mort de son père dans cette bataille ;
- le clan Seishuu dirigée par Dame Maruyama.
L'histoire commence par la fuite de Takeo (un invisible, les premiers chrétiens du Japon) qui a désarçonné Iida Sadamu alors qu'il massacrait les gens de son village. Otori Shigeru lui vient en aide, le prend sous son aile et désire l'adopter, lui qui a perdu sa femme et son fils jadis. Takeo va révéler avoir des pouvoirs extraordinaires hérités de tribus anciennes. Une nuit, on attente à la vie de Shigeru et grâce à Takeo, le pire est évité même si on ignore qui a commandité le meurtre. Parallèlement, le lecteur suit Shirakawa Kaede, jeune fille retenue en otage pour acheter une forme de paix et de neutralité entre les clans. Elle a l'âge d'être mariée mais a la réputation de faire mourir ses prétendants. Plusieurs intrigues s'entremêlent et le suspense est de mise pour la fin de ce premier tome qui donne clairement envie de (re)découvrir le roman.
Je n'ai pas forcément aimé le style du dessin, en revanche j'ai beaucoup aimé les couleurs. Les scènes peuvent être tout à fait poétiques comme violentes et plus sombres suivant l'intrigue. En résumé, une jolie découverte qui me donne envie de feuilleter le roman.
