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Critique de Pachy


Bon, va falloir s'y mettre. Parler de cette pièce. Pas simple du tout. Sûrement pas la pièce par laquelle il faut commencer pour découvrir l'univers de Melquiot.

Trois personnages : l'homme, la femme (mariés) et l'autre homme , la chandelle. Oui, c'est bien de l'expression : tenir la chandelle. Qui est là au milieu de vous, voyeur infatigable. Mais, même si l'on se persuade au fil des répliques qu'il ne s'agit que d'une pantalonnade façon Alfred Jarry c'est bien mal connaître l'auteur.
Une chandelle, l'autre homme, nous en avons tous une qui brûle pendant qu'elle observe notre vie. Cette chandelle, éclaire et scrute la vie d'Emma et Steve. Amoureux, vie rangée, sans enfants. Cette vie tranquille peut-elle restée sans « nids de poule », sans coups de théâtre ? L'autre homme est la chandelle et nous les curieux, les petites souris. Est-ce un être vivant cet « autre homme ? ». Non bien sûr. Dans la pièce oui. Il personnifie cette chandelle qui observe, s'incruste mais surtout qui nous donne à voir, nous public « On est tous des stars. Pas besoin de spectacle. La vie suffit……. » c'est la vie de ce couple, , que la chandelle veut décortiquer sous nos yeux. Les bâtons qu'il invente pour mettre dans leur vie de couple, ce sont les aléas de la vie.

Mais, un conseil, accrochez-vous. Elle n'est pas facile à décrypter cette histoire de chandelle.
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