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Critique de dagonides
James Campbell, de son vrai nom Jean-François Ménard, connaît les livres-jeu dans leur version enfants / ados, il nous en livre ici un équivalent plus mature. On pourait parler de public « young adult »
L'introduction débute pourtant comme un conte de fées (avec quelques fautes de style curieuses). Un conte de fées croisé avec la série TV "Docteur Who", sans doute... A ses débuts, quand il s'agissait surtout d'explorer le temps, pas encore les planètes. le héros ou l'héroïne fait partie du peuple des Pérenniens, qui vivent au centre de la Terre et ne subissent pas le passage du temps...
Comment ça, « Pérenniens » ? de l'adjectif pérenne, qui dure. L'auteur ne se fiche pas de nous, le voca et la qualité du récit seront au niveau.
Hein, « Héros ou héroïne ? » Et oui, on va jouer soit le Prince, soit la Princesse du Temps ! La série "Double Jeu" a peut-être été traduite en même temps que s'écrivaient "Les Messagers du Temps" (1987-1989), l'idée était en tout cas dans l'air... LA CRITIQUE COMPLETE SUR LE FORUM RDV1.
Lien : https://rdv1.dnsalias.net/fo..
L'introduction débute pourtant comme un conte de fées (avec quelques fautes de style curieuses). Un conte de fées croisé avec la série TV "Docteur Who", sans doute... A ses débuts, quand il s'agissait surtout d'explorer le temps, pas encore les planètes. le héros ou l'héroïne fait partie du peuple des Pérenniens, qui vivent au centre de la Terre et ne subissent pas le passage du temps...
Comment ça, « Pérenniens » ? de l'adjectif pérenne, qui dure. L'auteur ne se fiche pas de nous, le voca et la qualité du récit seront au niveau.
Hein, « Héros ou héroïne ? » Et oui, on va jouer soit le Prince, soit la Princesse du Temps ! La série "Double Jeu" a peut-être été traduite en même temps que s'écrivaient "Les Messagers du Temps" (1987-1989), l'idée était en tout cas dans l'air... LA CRITIQUE COMPLETE SUR LE FORUM RDV1.
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