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Critique de Gaoulette
Merci à l'association Laféladi et ses 6 fées de nous faire rêver à travers leurs livres et leur imagination débordante.
Merci à l'association Laféladi et ses 6 fées pour leur engagement sans faille pour la vie culturelle de l'île de la Réunion.
Merci à l'association Laféladi pour ce service presse exceptionnel. de jolies découvertes pour ma part.
Première constatation, j'adore la couverture et les tableaux qui accompagnent ce recueil de poèmes. Je ne suis pas une grande fan en temps normal de poésie. Les messages ne passent pas souvent. Mais rajouter de belles images c'est une très bonne idée.
L'auteure nous propose un recueil avec une même trame : l'esclavage, les marrons… Toute l'histoire de la Réunion. Une manière plus douce pour parler de nos ancêtres. Un recueil qui trouvera son public dans les amoureux des beaux mots.
Je tiens à préciser que c'est un très bel ouvrage.
Avant d'être l'île de la Réunion, elle s'appelait l'île Bourbon. Une île de non retour où les bateaux négriers faisaient escale pour déposer leur "marchandise". Monique Merabet décide d'en parler tout en poésie et finesse. Parfois des jolies rimes valent mieux que des mots de colère.
Merci à l'association Laféladi et ses 6 fées pour leur engagement sans faille pour la vie culturelle de l'île de la Réunion.
Merci à l'association Laféladi pour ce service presse exceptionnel. de jolies découvertes pour ma part.
Première constatation, j'adore la couverture et les tableaux qui accompagnent ce recueil de poèmes. Je ne suis pas une grande fan en temps normal de poésie. Les messages ne passent pas souvent. Mais rajouter de belles images c'est une très bonne idée.
L'auteure nous propose un recueil avec une même trame : l'esclavage, les marrons… Toute l'histoire de la Réunion. Une manière plus douce pour parler de nos ancêtres. Un recueil qui trouvera son public dans les amoureux des beaux mots.
Je tiens à préciser que c'est un très bel ouvrage.
Avant d'être l'île de la Réunion, elle s'appelait l'île Bourbon. Une île de non retour où les bateaux négriers faisaient escale pour déposer leur "marchandise". Monique Merabet décide d'en parler tout en poésie et finesse. Parfois des jolies rimes valent mieux que des mots de colère.
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