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Critique de oblo
Livre reçu dans le cadre de l'opération Masse critique. Lu à deux enfants de sept et quatre ans.
Ludique et pédagogique, l'atlas présente onze cartes en tout : une du monde entier sous le format planisphère, dix pour les continents, à raison de deux par continent, sauf pour l'Océanie et l'Antarctique. Ces cartes présentent la particularité d'être tactiles, c'est-à-dire que l'enfant, en passant sa main sur la carte, peut se rendre compte par le toucher des différences entre les espaces représentés : mer, terre, montagnes, fosses océaniques ... Les cartes sont denses en informations ; l'Europe, l'Asie, l'Afrique et les Amériques ont droit à deux pages reflétant, d'une part, la géographie physique et, d'autre part, la géographie politique et culturelle. Faune, flore, chaînes de montagnes, réseaux hydrographiques, frontières politiques, principaux monuments, marqueurs culturels (culinaires, musicaux, cultuels ...) y apparaissent ; les enfants peuvent s'amuser à retrouver certains éléments, grâce à un système de "cherche et trouve" (par exemple : la statue d'Astro Boy à Kyoto ou le fleuve Limpopo, "fleuve au nom rigolo qui se jette dans l'océan Indien").
Si la page de droite contient les illustrations, celle de gauche offre, de façon littérale, une description du continent présenté. le Nil, le Kilimandjaro ou les pyramides du Soudan pour l'Afrique, le lac Baïkal et le Taj Mahal pour l'Asie révèlent aux enfants une partie - la plus connue certes - de ce vaste et beau monde dont nous disposons. Sur une dernière demi-page, les auteurs tâchent, sans que cela ne semble moralisateur, d'alerter les enfants sur la fragilité d'un monde dont ils ont exposé la richesse et la diversité : s'occuper des animaux en danger, protéger les trésors de la nature ou étudier la nature pour mieux la sauvegarder semblent absolument être des messages utiles et, espérons-le, salvateurs. Ainsi cet atlas remplit-il allégrement sa mission : divertir et éduquer. Les parents aussi pourront en prendre de la graine.
Ludique et pédagogique, l'atlas présente onze cartes en tout : une du monde entier sous le format planisphère, dix pour les continents, à raison de deux par continent, sauf pour l'Océanie et l'Antarctique. Ces cartes présentent la particularité d'être tactiles, c'est-à-dire que l'enfant, en passant sa main sur la carte, peut se rendre compte par le toucher des différences entre les espaces représentés : mer, terre, montagnes, fosses océaniques ... Les cartes sont denses en informations ; l'Europe, l'Asie, l'Afrique et les Amériques ont droit à deux pages reflétant, d'une part, la géographie physique et, d'autre part, la géographie politique et culturelle. Faune, flore, chaînes de montagnes, réseaux hydrographiques, frontières politiques, principaux monuments, marqueurs culturels (culinaires, musicaux, cultuels ...) y apparaissent ; les enfants peuvent s'amuser à retrouver certains éléments, grâce à un système de "cherche et trouve" (par exemple : la statue d'Astro Boy à Kyoto ou le fleuve Limpopo, "fleuve au nom rigolo qui se jette dans l'océan Indien").
Si la page de droite contient les illustrations, celle de gauche offre, de façon littérale, une description du continent présenté. le Nil, le Kilimandjaro ou les pyramides du Soudan pour l'Afrique, le lac Baïkal et le Taj Mahal pour l'Asie révèlent aux enfants une partie - la plus connue certes - de ce vaste et beau monde dont nous disposons. Sur une dernière demi-page, les auteurs tâchent, sans que cela ne semble moralisateur, d'alerter les enfants sur la fragilité d'un monde dont ils ont exposé la richesse et la diversité : s'occuper des animaux en danger, protéger les trésors de la nature ou étudier la nature pour mieux la sauvegarder semblent absolument être des messages utiles et, espérons-le, salvateurs. Ainsi cet atlas remplit-il allégrement sa mission : divertir et éduquer. Les parents aussi pourront en prendre de la graine.
