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Critique de JonathanLecuyer


La nef d'Ishtar écrit en 1923 fait parti, je pense des précurseurs de la fantasy.


L'intrigue est vite lancée, un chapitre où on découvre Kenton (le protagoniste) qui reçoit un bloc de pierres antique qu'il décide de casser ... Dedans une "maquette" de bateau et ses personnages ; et hop, c'est parti !


Une quête qui se déroule au fil du roman sans que l'on ne sache vraiment où l'on va. Mais il y à de l'action, on est sur des la fantaisie à l'ancienne ; des hommes forts, des femmes magnifiques (très souvent seins à l'air), des méchants très méchants, de la bagarre, des têtes qui roulent, du sang et de l'amour ! Beau programme.


Bien que tout cela fasse clairement cliché, il faut se rappeler l'époque de l'écrit (1923), ce n'était sans doute pas cliché à l'époque !


Mais au final, ça se lit assez simplement et bien que les personnages ne soient pas d'une profondeur folle, j'ai apprécié ma lecture. Une écrite étayé de métaphore et de descriptions précises. L'auteur aime utiliser le lexique des couleurs et de la lumière ce qui rend un univers parfaitement imaginable. le tout dans un écrin mystique et magique, une cosmogonie ou les dieux jouent leur rôles.


Quelques points cependant m'ont interloqué, Kenton simple archéologue deviens en peu de temps un combattant aguerris au maniement de l'épée. Les femmes sont quasiment toujours poitrine à l'air ou vêtues de façon suggestive.


Cependant, j'ai bien aimé, le début du roman qui se déroule en huit clos sur un bateau, avec les descriptions très précises, on se sent vite coincés sur le bateau avec les protaginistes.
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