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Critique de Riagad
Un somptueux ouvrage que j'ai reçu quelques jours avant Noël, comme un cadeau avant l'heure.
Francis Meslet, l'auteur des textes et des photographies, est natif de la Lorraine voisine. À ce titre, il connaît bien les friches et le patrimoine industriels. Il est également un connaisseur de la fameuse exploration urbaine (urbex) popularisée ces dernières années par différents sites Internet et chaînes sur les réseaux sociaux.
La Belgique, wallonne notamment, possède un riche passé industriel, tombé quelque peu en désuétude depuis la fin de vingtième siècle. L'objectif de ce livre est de faire revivre ce patrimoine industriel afin qu'il ne soit pas totalement oublié avant de disparaître totalement.
Conformément aux règles de l'exploration urbaine, les sites ne sont jamais localisés avec précision et portent des surnoms plutôt que leur nom officiel. Cependant, je suppose que la plupart des lieux doivent être faciles à retrouver une fois que l'on se trouve dans la bonne région.
Les photographies sont magnifiques.
Les commentaires expliquent un peu le contexte de ses visites, la destination des bâtiments et leur devenir. En effet, l'autre y revient parfois plusieurs fois et précise si les bâtiments ont été sauvegardés, rénovés ou détruits. Toutefois, les anecdotes personnelles ne sont pas toujours dignes d'un grand intérêt. le style n'est pas très limpide, un peu maladroit je trouve.
Néanmoins, j'apprécie beaucoup de genre d'ouvrages, qui me permettent de rêver sans bouger de mon canapé, moi qui serais bien trop paresseuse pour visiter réellement les lieux et qui suis certaine qu'ils sont beaucoup plus beaux en photo qu'en réalité.
À noter que, je ne sais pas si c'est du lard ou du cochon mais dans le commentaire de la Pritzer Fac, l'auteur qualifie de « bienfaiteur » le roi Albert II ! (Je cite : « Derrière, le portrait d'un bienfaiteur orne le mur de boiseries au-dessus d'une imposante cheminée de marbre noir. »).
Francis Meslet, l'auteur des textes et des photographies, est natif de la Lorraine voisine. À ce titre, il connaît bien les friches et le patrimoine industriels. Il est également un connaisseur de la fameuse exploration urbaine (urbex) popularisée ces dernières années par différents sites Internet et chaînes sur les réseaux sociaux.
La Belgique, wallonne notamment, possède un riche passé industriel, tombé quelque peu en désuétude depuis la fin de vingtième siècle. L'objectif de ce livre est de faire revivre ce patrimoine industriel afin qu'il ne soit pas totalement oublié avant de disparaître totalement.
Conformément aux règles de l'exploration urbaine, les sites ne sont jamais localisés avec précision et portent des surnoms plutôt que leur nom officiel. Cependant, je suppose que la plupart des lieux doivent être faciles à retrouver une fois que l'on se trouve dans la bonne région.
Les photographies sont magnifiques.
Les commentaires expliquent un peu le contexte de ses visites, la destination des bâtiments et leur devenir. En effet, l'autre y revient parfois plusieurs fois et précise si les bâtiments ont été sauvegardés, rénovés ou détruits. Toutefois, les anecdotes personnelles ne sont pas toujours dignes d'un grand intérêt. le style n'est pas très limpide, un peu maladroit je trouve.
Néanmoins, j'apprécie beaucoup de genre d'ouvrages, qui me permettent de rêver sans bouger de mon canapé, moi qui serais bien trop paresseuse pour visiter réellement les lieux et qui suis certaine qu'ils sont beaucoup plus beaux en photo qu'en réalité.
À noter que, je ne sais pas si c'est du lard ou du cochon mais dans le commentaire de la Pritzer Fac, l'auteur qualifie de « bienfaiteur » le roi Albert II ! (Je cite : « Derrière, le portrait d'un bienfaiteur orne le mur de boiseries au-dessus d'une imposante cheminée de marbre noir. »).
