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Critique de Couurgette
Ce roman se passe dans une France fatiguée, remuée par les tensions politiques, la montée des prix et les crises sociales successives. Dans ce contexte, un jeune étudiant s'immole devant l'Assemblé Nationale. Sabrina, professeure extenuée et mère célibataire, se retrouvera choquée par ce geste. Paul, docteur en littérature reconverti en boucher, s'identifiera à la précarité de ce jeune homme.
En parallèle, la présidente de la République se voile la face, et instaure des règlements de plus en plus durs pour les français, contrariant les libertés fondamentales et la solidarité nationale sous couvert de défense de la sécurité.
Ce roman nous montre une vision particulière de la France, à bout de souffle. C'est un roman assez dur à lire, de part les mots employés mais aussi son histoire, car il évoque des thèmes complexes et qu'il est particulièrement engagé politiquement. Je n'ai sincèrement pas accrochée du tout. Se voulant à la fois dystopique, mais reflétant une réalité actuelle, cette lecture a été compliquée à finir. Elle est très noire, on y trouve peu de nuances dans les propos, et très très peu de joie. J'y retrouvais parfois la même sensation qu'on a devant des débats Twitter stériles, où les participants restent bornés et ne cherchent pas à nuancer leur propos. Peut être que je n'ai pas pleinement compris ce que le roman cherche à nous faire passer, mais je crois que je ne suis pas la seule, et je ne suis pas non plus plus bête qu'un autre.
En parallèle, la présidente de la République se voile la face, et instaure des règlements de plus en plus durs pour les français, contrariant les libertés fondamentales et la solidarité nationale sous couvert de défense de la sécurité.
Ce roman nous montre une vision particulière de la France, à bout de souffle. C'est un roman assez dur à lire, de part les mots employés mais aussi son histoire, car il évoque des thèmes complexes et qu'il est particulièrement engagé politiquement. Je n'ai sincèrement pas accrochée du tout. Se voulant à la fois dystopique, mais reflétant une réalité actuelle, cette lecture a été compliquée à finir. Elle est très noire, on y trouve peu de nuances dans les propos, et très très peu de joie. J'y retrouvais parfois la même sensation qu'on a devant des débats Twitter stériles, où les participants restent bornés et ne cherchent pas à nuancer leur propos. Peut être que je n'ai pas pleinement compris ce que le roman cherche à nous faire passer, mais je crois que je ne suis pas la seule, et je ne suis pas non plus plus bête qu'un autre.
