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Critique de CAMELIABLEU
Une bande d'enfants sur la côte bretonne. Chacun se raconte, à tour de rôle, dans des nouvelles qui dépeignent leurs jeux, confient leurs amours , leurs secrets, et éclairent leur personnalité. Puis, lorsqu'ils décident de passer une nuit dans un vieux phare, chacun va raconter un morceau de ce qui va se passer.
J'ai lu ces nouvelles avec plaisir. L'auteur sait saisir ce mélange de légèreté et de gravité de l'enfance, lorsque le sourire masque le drame, l'importance de l'amitié, les défis qu'on se lance. J'ai aimé aussi les descriptions ; ma lecture était pleine d'embruns.
Mais je n'ai pas réussi à y voir des mots d'enfants, ou de jeunes adolescents. J'aurais peut-être pu y croire si cette histoire avait eu lieu il y a quelques décennies, mais pas alors que les allusions aux consoles et au téléphone portable ne la situe indéniablement dans un cadre contemporain. Dommage, ce sont de beaux textes, émouvants, mais je ne suis pas sûre que les jeunes lecteurs s'y reconnaissent.
J'ai lu ces nouvelles avec plaisir. L'auteur sait saisir ce mélange de légèreté et de gravité de l'enfance, lorsque le sourire masque le drame, l'importance de l'amitié, les défis qu'on se lance. J'ai aimé aussi les descriptions ; ma lecture était pleine d'embruns.
Mais je n'ai pas réussi à y voir des mots d'enfants, ou de jeunes adolescents. J'aurais peut-être pu y croire si cette histoire avait eu lieu il y a quelques décennies, mais pas alors que les allusions aux consoles et au téléphone portable ne la situe indéniablement dans un cadre contemporain. Dommage, ce sont de beaux textes, émouvants, mais je ne suis pas sûre que les jeunes lecteurs s'y reconnaissent.
