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Critique de colimasson
Jésus aurait pu être un toubib au temps où les Esséniens s'agitaient encore en Galatée, avant de se faire torcher au dernier quart du premier siècle par les Romains en poursuite de la fureur sanguine. C'est un peu anachronique bien sûr car à cette époque, il n'y avait pas vraiment de toubib comme aujourd'hui, prompt à vous prescrire un petit arrêt maladie quand vous en avez marre d'aller au taf. Tous les Esséniens, paraît-il, maîtrisaient la science des plantes et des trucs du genre, ce qu'on appelle aujourd'hui médecines douces et qu'on vous fait payer un bras par nostalgie du temps jadis.
Daniel Meurois nous présente ce récit comme un témoignage vivant. Voilà ce qu'il raconte dans une interview (http://www.energie-sante.net/fr/se/SE004_qui-etaient-les-esseniens.php) :
« Lorsqu'une âme – ou une conscience, si on préfère – découvre, par un certain travail sur elle-même, la capacité de se connecter à cette longueur d'onde, elle parvient à entrer dans le film du passé que constituent les Annales Akashiques.
Personnellement, c'est d'une façon totalement involontaire que j'ai découvert, il y a trente ans, cette méthode de travail.
L'une des conséquences de cette expérience fondamentale fut pour moi celle de la réalité de la réincarnation. J'ai alors compris clairement que j'avais vécu au sein d'une Communauté essénienne, exactement à l'époque du Christ. C'est de cette façon-là que j'ai été amené à investiguer longuement un certain passé et que j'ai réussi à en ramener des notions extrêmement précises. »
Les Annales Akashiques, c'est la pellicule du film de notre Univers. Un genre de substance infiniment subtile, une forme d'énergie dans laquelle baigne l'Univers et qui aurait la propriété de garder la mémoire visuelle et auditive de tout ce qui vit. On y croit ou pas, on s'en fout. Moi ça me fait marrer et c'est déjà touchant de bonnes intentions que quelqu'un se soit donné la peine d'inventer toute cette plongée dans des vies antérieures pour nous transmettre une hypothèse intéressante sur le parcours de Jésus en tant que super-toubib de la bande des Esséniens. le récit en est d'autant plus dynamique et vivant, et ça ne parle finalement pas tant de Jésus que de l'enseignement initiatique réservé aux guérisseurs. Encore une fois, on constatera que Jésus est moins le but que le moyen. C'est ça le sacrifice.
Daniel Meurois nous présente ce récit comme un témoignage vivant. Voilà ce qu'il raconte dans une interview (http://www.energie-sante.net/fr/se/SE004_qui-etaient-les-esseniens.php) :
« Lorsqu'une âme – ou une conscience, si on préfère – découvre, par un certain travail sur elle-même, la capacité de se connecter à cette longueur d'onde, elle parvient à entrer dans le film du passé que constituent les Annales Akashiques.
Personnellement, c'est d'une façon totalement involontaire que j'ai découvert, il y a trente ans, cette méthode de travail.
L'une des conséquences de cette expérience fondamentale fut pour moi celle de la réalité de la réincarnation. J'ai alors compris clairement que j'avais vécu au sein d'une Communauté essénienne, exactement à l'époque du Christ. C'est de cette façon-là que j'ai été amené à investiguer longuement un certain passé et que j'ai réussi à en ramener des notions extrêmement précises. »
Les Annales Akashiques, c'est la pellicule du film de notre Univers. Un genre de substance infiniment subtile, une forme d'énergie dans laquelle baigne l'Univers et qui aurait la propriété de garder la mémoire visuelle et auditive de tout ce qui vit. On y croit ou pas, on s'en fout. Moi ça me fait marrer et c'est déjà touchant de bonnes intentions que quelqu'un se soit donné la peine d'inventer toute cette plongée dans des vies antérieures pour nous transmettre une hypothèse intéressante sur le parcours de Jésus en tant que super-toubib de la bande des Esséniens. le récit en est d'autant plus dynamique et vivant, et ça ne parle finalement pas tant de Jésus que de l'enseignement initiatique réservé aux guérisseurs. Encore une fois, on constatera que Jésus est moins le but que le moyen. C'est ça le sacrifice.
