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Critique de anniefrance
deux petites nouvelles que je n'ai pas trop aimées: je préfère les romans de cette autrice mais les idées de fond sont toujours présentes.
Il s'agit surtout de la libération des femmes subsahariennes; " sans complaisance face à toutes les formes de domination, coloniale et masculine, Léonora Miano fait advenir le règne du féminin.
Et voilà, à mon grand regret, elle aussi, se met à écrire sur un sujet à la mode, sans doute un peu à sa façon et avec plus d'analyse.
La forme est théâtrale, les dialogues un peu longs, les noms des personnages difficiles à retenir; par exemple je confondais Inyi (divinité) et iYo :mortelle.
J'ai découvert le mot "candace" et j'ignorais tout de la mythologie douala (malgré deux voyages au Cameroun où j'habitais Douala)
Il s'agit surtout de la libération des femmes subsahariennes; " sans complaisance face à toutes les formes de domination, coloniale et masculine, Léonora Miano fait advenir le règne du féminin.
Et voilà, à mon grand regret, elle aussi, se met à écrire sur un sujet à la mode, sans doute un peu à sa façon et avec plus d'analyse.
La forme est théâtrale, les dialogues un peu longs, les noms des personnages difficiles à retenir; par exemple je confondais Inyi (divinité) et iYo :mortelle.
J'ai découvert le mot "candace" et j'ignorais tout de la mythologie douala (malgré deux voyages au Cameroun où j'habitais Douala)
