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Critique de malecturotheque
Si mon avis était assez mitigé quant au premier livre, Ville noire, je dois bien avouer que ma lecture de Zone blanche m'a bien plus enthousiasmée.
Les événements de ce second tome sont l'enchaînement direct du premier, et dès le début du livre, l'auteur a su capter mon intérêt : en dehors de quelques révélations, il se passe aussi pas mal de choses. D'emblée, nous apprenons qu'un événement important va se dérouler (ouvrez vos cahiers d'Histoire!), mais la question est de savoir quand, comment, et par quel(s) moyen(s) notre héroïne va s'en sortir.
Tout comme Ville noire, Zone blanche se découpe en deux parties, et c'est donc très logiquement que nous avons tout d'abord l'annonce de cet événement qui approche, et ensuite son déroulement, sa finalité. Si la première partie était vraiment bien, j'ai cependant trouvé que la deuxième allait trop vite, ne creusant parfois pas assez les personnages et leurs aventures.
Le petit plus de ce second roman, c'est que cette fois-ci, nous ne suivons pas uniquement Faustine au XIXe siècle, mais aussi ses amis – cela dit, nous les voyons très peu et je le regrette, car j'aurais aimé que ce soit plus poussé de leur côté. En effet, si nous voyons les différents protagonistes évoluer, certains d'entre eux manquent quand même de relief.
Et le petit moins, c'est cette fin, que j'ai trouvé assez vague. J'aurais apprécié quelques pages supplémentaires. En revanche, j'aime beaucoup l'épilogue.
Au final, Cité 19 est assez inégal, et c'est vraiment dommage qu'il ait été découpé en deux livres au lieu d'un.
Si les personnages auraient mérité d'être plus approfondis, ainsi que certains événements, la lecture de ce second tome était prenante, et ne manquait pas d'action. Si vous avez déjà entamé la lecture de Ville noire, lisez Zone blanche : vous ne serez pas déçu.e.s.
Lien : https://malecturotheque.word..
Les événements de ce second tome sont l'enchaînement direct du premier, et dès le début du livre, l'auteur a su capter mon intérêt : en dehors de quelques révélations, il se passe aussi pas mal de choses. D'emblée, nous apprenons qu'un événement important va se dérouler (ouvrez vos cahiers d'Histoire!), mais la question est de savoir quand, comment, et par quel(s) moyen(s) notre héroïne va s'en sortir.
Tout comme Ville noire, Zone blanche se découpe en deux parties, et c'est donc très logiquement que nous avons tout d'abord l'annonce de cet événement qui approche, et ensuite son déroulement, sa finalité. Si la première partie était vraiment bien, j'ai cependant trouvé que la deuxième allait trop vite, ne creusant parfois pas assez les personnages et leurs aventures.
Le petit plus de ce second roman, c'est que cette fois-ci, nous ne suivons pas uniquement Faustine au XIXe siècle, mais aussi ses amis – cela dit, nous les voyons très peu et je le regrette, car j'aurais aimé que ce soit plus poussé de leur côté. En effet, si nous voyons les différents protagonistes évoluer, certains d'entre eux manquent quand même de relief.
Et le petit moins, c'est cette fin, que j'ai trouvé assez vague. J'aurais apprécié quelques pages supplémentaires. En revanche, j'aime beaucoup l'épilogue.
Au final, Cité 19 est assez inégal, et c'est vraiment dommage qu'il ait été découpé en deux livres au lieu d'un.
Si les personnages auraient mérité d'être plus approfondis, ainsi que certains événements, la lecture de ce second tome était prenante, et ne manquait pas d'action. Si vous avez déjà entamé la lecture de Ville noire, lisez Zone blanche : vous ne serez pas déçu.e.s.
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