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Critique de RChris
Dès le chapitre liminaire, dans son style sensoriel, Yasmina Khadra nous immerge dans la vie à Kaboul à la pire des époques, celle qui suivit le retrait des troupes soviétiques et l'installation de l'Etat islamique d'Afghanistan, promoteur de “la vertu et de la répression du vice”.
Très vite le style s'oublie sous l'effet de l'intensité d'une scène effroyable de lapidation d'une prostituée par les talibans et le public.
Puis on revient, dans la chaleur et la poussière, à la description de cette ville détruite avant de donner vie à des personnages miséreux.
L'auteur fait alors émerger des sentiments sur cette dévastation.
Ce court roman est aussi une histoire bouleversante enchâssée dans les exactions des fondamentalistes religieux avec les mollahs, les tchadris, les exécutions publiques…
L'auteur réussit le tour de force de nous faire partager cette vie si éloignée de notre confort matériel et politique.
Très vite le style s'oublie sous l'effet de l'intensité d'une scène effroyable de lapidation d'une prostituée par les talibans et le public.
Puis on revient, dans la chaleur et la poussière, à la description de cette ville détruite avant de donner vie à des personnages miséreux.
L'auteur fait alors émerger des sentiments sur cette dévastation.
Ce court roman est aussi une histoire bouleversante enchâssée dans les exactions des fondamentalistes religieux avec les mollahs, les tchadris, les exécutions publiques…
L'auteur réussit le tour de force de nous faire partager cette vie si éloignée de notre confort matériel et politique.
