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Critique de BazaR


J'ai profité de l'édition d'une collection de Spider-Man à petit prix, reprenant les épisodes marquants de la vie du super-héros, pour découvrir les origines de Venom ; un personnage que je n'ai jamais apprécié (j'avoue, sa tronche me débecte).

Cela nous ramène en 1988-1989. Quelques temps auparavant, Spider-Man avait récupéré sur une planète patchwork un nouveau costume qui semblait presque vivant (dans Les Guerres Secrètes). Il s'avéra qu'il s'agissait d'un symbiote dont le héros eut toutes les peines du monde à se débarrasser.
Frustré, le symbiote s'enfuit et s'attache finalement à Eddie Brock, un journaliste déchu qui a des raisons personnelles d'en vouloir à Spider-Man. L'association colle. On entend souvent Eddie parler à son autre moitié. Vengeance est le maître mot. Venom, le nom. le vilain apparait comme un costume déformé et bodybuildé du Spider-Man-Noir, avec de longues dents (la langue qui sort apparaîtra plus tard, pour augmenter le dégoût). Je suis assez surpris de lire que ce tandem n'est pas psychopathe et évite de tuer des innocents s'il peut faire autrement.

C'est le tandem David Michelinie, Tom McFarlane qui crée ce personnage. J'avoue que ces épisodes ne m'ont pas fait changer d'avis sur lui. C'est clair, je ne suis pas en phase avec le dessin et les façons de raconter des histoires de l'époque. Je ne reconnais pas vraiment les personnages de Steve Ditko et John Romita. C'est clair qu'en 1990, je n'appartiens plus au public visé. Pourtant, des histoires plus récentes m'ont enchanté.

Enfin, je découvre quand même un peu de la vie conjugale de Peter Parker et Mary-Jane qui ont fini par se marier et enchainent les déconvenues : difficulté avec leur vie professionnelle, pour trouver un logement aussi. Retour chez tante May qui a transformé sa maison pour accueillir les personnes âgées comme elle.

Bon, ça ne restera pas dans ma mémoire.
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