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Critique de Kenehan
Fin des années 1980, la série « Amazing Spider-Man » intègre le retour de Venom. Sont réunis ici les numéros 300 et 315 à 317 où oeuvrent le scénariste David Michelinie et l'artiste Todd McFarlane.
Un tome acheté sans conviction malgré la lecture de « Venom Rex » car refroidi par celle de « Venom, la naissance du mal ». Ce tome montre à quel point Venom est une entité implacable et met en lumière ses motivations profondes à l'égard de son ancien hôte Spider-Man.
Le dessin appuie et renforce toute la violence de Venom, un ennemi capable de mettre un terme à l'existence de Spider-Man. D'ailleurs, les planches où Venom tabasse littéralement Black Cat sont vraiment difficiles et suscitent un ressenti négatif qui ne transparaît pas si souvent dans l'univers des comics, à mon sens.
Un tome plus sombre et poisseux par rapport aux précédents de cette collection consacrées aux 60 ans de Spidey.
Un tome acheté sans conviction malgré la lecture de « Venom Rex » car refroidi par celle de « Venom, la naissance du mal ». Ce tome montre à quel point Venom est une entité implacable et met en lumière ses motivations profondes à l'égard de son ancien hôte Spider-Man.
Le dessin appuie et renforce toute la violence de Venom, un ennemi capable de mettre un terme à l'existence de Spider-Man. D'ailleurs, les planches où Venom tabasse littéralement Black Cat sont vraiment difficiles et suscitent un ressenti négatif qui ne transparaît pas si souvent dans l'univers des comics, à mon sens.
Un tome plus sombre et poisseux par rapport aux précédents de cette collection consacrées aux 60 ans de Spidey.
