AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de VALENTYNE


Genre : Récit autobiographie, dans les années 1970.
Royaume Uni : Tom Michell a 22 ans quand il voit l'offre d'emploi d'un collège-lycée à Buenos Aires pour un poste de prof d'anglais.
Il ne parle pas du tout espagnol mais cet emploi correspond à tout ce dont il a toujours rêvé : vivre dans un espace immense et découvrir l'Amérique latine.
Une fois sur place, sur une plage d'Uruguay, il sauve un Manchot de la marée noire (un sauvetage qui vire au surréalisme quand le manchot une fois nettoyé du pétrole refuse de retourner à la mer)
Le narrateur, une fois l'oiseau sauvé, le ramène dans le pensionnat où il est enseignant.
La personnalité de ce manchot est réellement attachante (il devient la mascotte (presque le coach) de l'équipe de rugby, il semble doué de la parole...
En parallèle de l'histoire de Juan Salvador (nom inspiré de la traduction espagnole de Jonathan Livingstone le goéland, qui vient de sortir), l'auteur décrit aussi la vie à Buenos Aires dans les années 1976-1977 : inflation galopante, coup d'états à répétition, vacances en tant que gaucho dans la pampa, excursion en terre de feu ...
Une lecture plaisante (j'ai beaucoup aimé la fin qui explique de façon rationnelle la situation surréaliste du départ)
Commenter  J’apprécie          160



Ont apprécié cette critique (15)voir plus




{* *}