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Critique de Jeanlucky
Merveilleux retour en arrière et plongée dans la première partie des années quatre-vingt, ces années si proches mais pourtant si lointaines durant lesquelles les portables n'existaient pas et où les cabines téléphoniques inondaient encore nos villes, avec le roman de Jean-Claude Michot, « Jean le taxi » !
Bienvenue dans le monde de Jean, jeune homme de vingt-cinq ans qui, après avoir déjà bien bourlingué aux quatre coins du monde, décide de tenter sa chance comme chauffeur de taxi à Lyon, sa ville natale.
Confortablement installés dans le taxi en compagnie de ce gars émotif, inquiet et perfectionniste, nous voilà — lecteurs attentifs — partis à la découverte des arcanes d'un métier parfois difficile mais à nul autre pareil.
Nous prenons alors plaisir à le suivre dans ses pérégrinations quotidiennes. Nous découvrons le côté répétitif du métier, les attentes interminables, les bars où se désaltérer, les collègues pas toujours faciles, les clients différents auxquels il faut toujours s'adapter, la nécessité de gagner assez pour vivre… Nous rencontrons ses parents, visitons la région au gré de plus longues courses effectuées, l'écoutons se remémorer souvenirs d'enfance et anecdotes familiales.
Puis, un jour, au hasard d'une rencontre, tout bascule.
Jean croise Élise et découvre l'amour, celui avec un grand A, celui que l'on croit indestructible. Une merveilleuse période débute.
Mais plus tard, le temps de plénitude passé, le doute s'installe peu à peu et les nuages s'amoncellent. Et si le taxi roule toujours, la vie n'est plus tout à fait la même. Jalousie et obsessions obscurcissent à présent le quotidien de Jean qui se retrouve face à de fameux dilemmes.
Très vite, nous voilà alors plongés dans une intrigue amoureuse scabreuse et palpitante, aux nombreux rebondissements auxquels nous ne nous attendions pas, et d'autres facettes du caractère et de la personnalité de Jean se dévoilent…
Où cela nous mènera-t-il donc ?
Si l'on sait que Jean-Claude Michot fut lui-même artisan taxi pendant à vingt ans à Lyon, on a évidemment compris pourquoi son roman respire à ce point le vécu. La seule question qui se pose encore est de savoir à quel moment la fiction dans le récit prend le dessus sur le réel !
En bref, un roman plaisant, rythmé et facile à lire pour un excellent moment de détente. Que demander de plus ?
Bienvenue dans le monde de Jean, jeune homme de vingt-cinq ans qui, après avoir déjà bien bourlingué aux quatre coins du monde, décide de tenter sa chance comme chauffeur de taxi à Lyon, sa ville natale.
Confortablement installés dans le taxi en compagnie de ce gars émotif, inquiet et perfectionniste, nous voilà — lecteurs attentifs — partis à la découverte des arcanes d'un métier parfois difficile mais à nul autre pareil.
Nous prenons alors plaisir à le suivre dans ses pérégrinations quotidiennes. Nous découvrons le côté répétitif du métier, les attentes interminables, les bars où se désaltérer, les collègues pas toujours faciles, les clients différents auxquels il faut toujours s'adapter, la nécessité de gagner assez pour vivre… Nous rencontrons ses parents, visitons la région au gré de plus longues courses effectuées, l'écoutons se remémorer souvenirs d'enfance et anecdotes familiales.
Puis, un jour, au hasard d'une rencontre, tout bascule.
Jean croise Élise et découvre l'amour, celui avec un grand A, celui que l'on croit indestructible. Une merveilleuse période débute.
Mais plus tard, le temps de plénitude passé, le doute s'installe peu à peu et les nuages s'amoncellent. Et si le taxi roule toujours, la vie n'est plus tout à fait la même. Jalousie et obsessions obscurcissent à présent le quotidien de Jean qui se retrouve face à de fameux dilemmes.
Très vite, nous voilà alors plongés dans une intrigue amoureuse scabreuse et palpitante, aux nombreux rebondissements auxquels nous ne nous attendions pas, et d'autres facettes du caractère et de la personnalité de Jean se dévoilent…
Où cela nous mènera-t-il donc ?
Si l'on sait que Jean-Claude Michot fut lui-même artisan taxi pendant à vingt ans à Lyon, on a évidemment compris pourquoi son roman respire à ce point le vécu. La seule question qui se pose encore est de savoir à quel moment la fiction dans le récit prend le dessus sur le réel !
En bref, un roman plaisant, rythmé et facile à lire pour un excellent moment de détente. Que demander de plus ?
