Il ne faut pas chercher à tout comprendre dans ce roman proche d'une nouvelle.
Il faut se laisser emporter par les mots de l'auteur et les maux du personnage. Negrisor, le personnage principal, se laisse entraîner dans ses délires, sa paranoïa.
Il est grisé par Eleonora et sa peau chocolat mais il a un adversaire.
Sa jalousie l’emmène dans ses égarements.
Les phrases sont belles (j'ai parfois pensé à Stéfan Zweig) mais les pérégrinations décousues, les aller-retour entre la réalité et les rêves (sans jamais savoir où nous nous situons) ne m'ont pas totalement embarquées.
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