Effectivement bref : quatre-vingts pages. Le narrateur autodiégétique, Negrișor est une sorte de mentaliste. Imaginez que dans cette étrange nouvelle série, il tournerait, au lieu de Teresa Lisbon, autour de Madeleine Hightower. Inconcevable, pensez-vous. Vous aurez alors saisi à quel point l'auteur était novateur dans la Roumanie des années vingt-trente. Quant au prix, si l'on parlait à Mihăescu de l'encre électronique, il arborerait sûrement un sourire inquiétant...
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