Karneval, tome 8

- Tu exagères, Iva ! Si tu n’es pas contente, il ne fallait pas t’exhiber devant tout le monde ! Normal que je regarde… Je suis un homme, après tout !
- Très bien, dans ce cas, je vais faire de toi une femme !
- Quoi ? Eh, une seconde ! Qu’est-ce que tu vises au juste ? Ah ! Non, stop !
- Il faut le sauver !
- Ne t’approche pas, Nai ! C’est dangereux…

Iva: Pardon, Nai! On peut dire que je ne t'ai pas raté!
Kiichi: Au lieu de t'excuser, tu ferais mieux d'aller enfiler quelque chose!!
Jiki: Waouh! Merci pour cette vision de rêve!
Iva (après l'avoir frappé): Jiki! Pfff... mes mains sont sales, maintenant que je t'ai touché... C'est drôle... je n'imaginais pas que tu étais aussi souple!
Nai (inquiet): Son corps est tout...
Tsukumo: ça suffit, calmez-vous!
Jiki: Tu exagères, Iva! Si tu n'es pas contente, il ne fallait pas t'exhiber devant tout le monde! Normal que je regarde... je suis un homme après tout!
Iva: Très bien, dans ce cas, je vais faire de toi une femme!
Jiki: Quoi? Eh, une seconde! Qu'est-ce que tu vises, au juste? AH! Non, stop!
Nai: Il faut le sauver!
Tsukumo: Ne t'approche pas, Nai! C'est dangereux...

Tsukumo: La force dont tu parles ressemble à la soif de destruction puérile de quelqu'un qui ne sait rien faire d'autre que démolir! A ton avis, entre ceux qui rasent des meubles et ceux qui le bâtissent de la base jusqu'au sommet, qui sont les plus admirables? Personnellement, je souhaite consacrer mon existence à construire un monde meilleur!

Jiki: Il y a un problème?
Yogi: Ah, Jiki, tu tombes à pic! Figure-toi que hier soir, Nai a vu un drôle de type dans le couloir.
Jiki: Tiens, je pensais que les moutons l'auraient mis au courant. Hmm... en fait... ce que tu as aperçu, c'était un fantôme!
Nai: Hmm?
Yogi (effrayé): C'est une blague?! Allons, il n'y a pas de revenants sur ce vaisseau! Sinon, ça se saurait, pas vrai?