«Le passé n’existe plus… Tu es mon présent princesse.»
Chapitre 8 :
Ambre
«…Fb Gdn : Dommage. Ça m’aurait fait plaisir de passer du temps avec toi…
Ambre Bellino : Tu ne m’as pas parlé de la semaine et puis je ne suis pas sûre que Charlotte soit du même avis. Alors, permets-moi d’en douter.
Fb Gdn : Je suis quelqu’un de susceptible, Ambre. Désolé. Je t’ai manqué ?
Ambre Bellino : Tu as fait un très beau match.
Fb Gdn : Merci. Ça reste entre nous mais je voulais surtout impressionner une fille qui venait me voir pour la première fois. Elle pense qu’on est juste amis. Mais, au fond, on sait tous les deux que c’est faux. Je te souhaite une bonne nuit, Ambre.
Mon Dieu. Ce garçon a le don de faire virevolter chacun de mes sens. ...»
Chapitre 3 :
Ambre
«… Dommage pour toi, Fabio. J’ai un sens aiguisé de la repartie et tu seras le premier à en faire les frais. Tu veux jouer ? Jouons.
– Pas de problème ! J’espère simplement que tu ne prévoyais pas de grande carrière dans le football !
Prends-toi ça, David !
Il sourit d’autant plus et laisse entrevoir ses dents parfaitement blanches et alignées. Le contraire m’aurait bien évidemment étonnée.
– Je ne t’ai jamais vue ici ! Tu es en vacances ?
– C’est ma cousine ! le coupe Léona. Elle vient d’emménager à Bordeaux.
Il se tourne vers elle.
– Ah, salut, Léa ! Et comment s’appelle ta cousine ?
– Euh, moi, c’est Léona ! Et ma cousine s’appelle Ambre.
– Enchanté, Ambre. Très joli prénom… Moi, c’est Fabio. Mais Léona a déjà dû te le dire. Alors, vu que tu emménages à Bordeaux, dans quel bahut tu vas aller à la rentrée ?
Je le dévisage. En quoi ça peut l’intéresser ?
– D’abord, tu me lances un ballon à la figure. Ensuite, tu te trompes de prénom et en plus tu es curieux !
– Détends-toi ! lance-t-il en riant. Je t’ai simplement demandé le nom de ton futur lycée ! Pas ton numéro ! Enfin, pas encore…
Quel frimeur ! Trouve quelque chose, Ambre !
Je regarde le ballon dans sa main et puis bingo !
– Écoute, Fabrice ! dis-je en écorchant volontairement son prénom. J’ai un deal à te proposer. Si tu arrives à faire plus de jongles que moi, je te donne le nom de mon futur bahut. Et si c’est moi qui gagne, tu devras aller nous acheter deux glaces. Ça marche ?
Il me rit au nez. Je le fixe, tout à fait sérieuse.
– Vraiment ? Tu veux me défier ?
– Évidemment, rétorqué-je, essayant de paraître sûre de moi.
– Marché conclu ! répond-il, suivi d’un clin d’œil et d’une poignée de main qui dure plus que de raison.
Sacré soleil qui brûle tous mes sens à ce contact...»