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Critique de Jessica26
Alors que Ezra voit son avenir sportif chamboulé, il retourne chez lui auprès de sa famille. Au hasard d'un chemin, il va rencontrer Azalée.
L'auteur a une approche différente pour parler du personnage féminin. On apprend à connaître Azalée à travers les pages de son journal intime. La voix principale du roman est donnée à Ezra.
À travers ses mots à elle, on comprend assez vite qu'elle a perdu un être cher. Son positivisme, c'est aussi pour honorer sa mémoire, ses souvenirs, mais à bien regarder, ce n'est que faux semblant. On a ici des personnages qui, dans leur tristesse, se trouvent, se comprennent, s'épaulent.
Tous deux cachent une vérité, un fait qui pourrait nuire à leur histoire, à leur avenir. Pourtant, malgré leur promiscuité, malgré cette attirance, l'un comme l'autre ne s'investit à fond dans cette histoire. Même si l'autre semble lui redonner goût à la vie, à l'espoir, à l'amour.
Une très belle plume qui nous transporte dans ce monde du hockey. Loin des terrains, Ezra doit apprendre à vivre sans son sport, sans ce qui rythme sa vie, faire un deuil sur celui qu'il a toujours rêvé d'être. Mais comment renoncer à son rêve à ce pourquoi o, a tout donner sans concession ? C'est à cela que Ezra va devoir répondre.
Une lecture prenante qui vous invite dans le monde de sportifs. Prêts à tout pour réussir, pour accomplir leurs rêves, on comprend l'investissement que cela prend et jusqu'où ils peuvent aller pour y arriver et à quoi ils sont prêts à renoncer.
Une lecture qui parle du deuil : le deuil d'une personne qu'on a aimé, le deuil de soi.
Une plume très agréable que je découvre au fil des pages. Un #slowburn fluide qui éveille des émotions tout au long de la lecture. Je ne peux que vous conseiller cette lecture qui vous mettra du baume au coeur et qui permet de prendre du recul. Ce qui peut paraître difficile à accepter au début ouvre peut-être d'autres portes par la suite.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
L'auteur a une approche différente pour parler du personnage féminin. On apprend à connaître Azalée à travers les pages de son journal intime. La voix principale du roman est donnée à Ezra.
À travers ses mots à elle, on comprend assez vite qu'elle a perdu un être cher. Son positivisme, c'est aussi pour honorer sa mémoire, ses souvenirs, mais à bien regarder, ce n'est que faux semblant. On a ici des personnages qui, dans leur tristesse, se trouvent, se comprennent, s'épaulent.
Tous deux cachent une vérité, un fait qui pourrait nuire à leur histoire, à leur avenir. Pourtant, malgré leur promiscuité, malgré cette attirance, l'un comme l'autre ne s'investit à fond dans cette histoire. Même si l'autre semble lui redonner goût à la vie, à l'espoir, à l'amour.
Une très belle plume qui nous transporte dans ce monde du hockey. Loin des terrains, Ezra doit apprendre à vivre sans son sport, sans ce qui rythme sa vie, faire un deuil sur celui qu'il a toujours rêvé d'être. Mais comment renoncer à son rêve à ce pourquoi o, a tout donner sans concession ? C'est à cela que Ezra va devoir répondre.
Une lecture prenante qui vous invite dans le monde de sportifs. Prêts à tout pour réussir, pour accomplir leurs rêves, on comprend l'investissement que cela prend et jusqu'où ils peuvent aller pour y arriver et à quoi ils sont prêts à renoncer.
Une lecture qui parle du deuil : le deuil d'une personne qu'on a aimé, le deuil de soi.
Une plume très agréable que je découvre au fil des pages. Un #slowburn fluide qui éveille des émotions tout au long de la lecture. Je ne peux que vous conseiller cette lecture qui vous mettra du baume au coeur et qui permet de prendre du recul. Ce qui peut paraître difficile à accepter au début ouvre peut-être d'autres portes par la suite.
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