Je suis assez d'accord avec cette critique...je m'attendais, non pas à du sensationnel - on n'a pas à demander à l'Histoire de ressembler à une couverture de "Gala" - mais à d'autres choix plus probants. Dans certains cas, on ne se trouve pas tout à fait dans le mensonge franc et massif, mais plus dans l'omission, ce qui atténue un peu l'intérêt de la chose.
Dans le chapitre qui traite entre autres du goulag : "le mensonge de masse", même si c'est pour traiter de la façon dont le récit de Kravchenko a été accueilli en France, l'auteur enfonce un peu des portes ouvertes lorsqu'il fustige les mensonges de Staline.
Le Petit Père du Peuple ??? Un menteur ???
P.S. : peut-être ai-je été trop attiré par la couverture aux reflets or-argent de la "Bocca della verita"...ça m'apprendra à désirer ce qui brille.
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