La sensation de son souffle chaud sur ma peau provoqua un nouveau frisson de plaisir dans mon corps. Je clignai des yeux, craignant de laisser échapper un gémissement si j’entrouvrais mes lèvres.
- Peu m’importe ta véritable nature. Tu resteras mienne aussi longtemps que JE le souhaiterai, me dit-il la voix empreinte d’une détermination farouche.