Cette adaptation illustrée d'un conte tibétain permet au talent du maître de l'animation japonaise en devenir de se dévoiler dans toute sa pureté d'aquarelliste animiste. Les planches sont taiseuses, laissant la nature emplir les pages tandis que l'homme est remis à sa place microscopique face à elle, face à ses caprices qu'il faut embrasser avant de pouvoir les apprivoiser (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/04/14/
le-voyage-de-shuna-hayao-miyazaki/)
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