Je n'aurais finalement pas pu aller au bout de ce désastre plus longtemps. J'ai déposé les armes au 5ème tome, après avoir supporté autant d'inepties... ça m'apprendra à essayer d'apprécier les shojo. Je pense que
Setona Mizushiro devrait régler son complexe vis-à-vis des femmes et de la sexualité en général parce que les théories sur le genre dont elle nous gratine au travers de Mashiro et ses sempiternels dilemmes sont vraiment d'une débilité et d'une lourdeur hors du commun. Je n'ai plus du tout retrouvé l'attrait principal que j'avais eu au départ pour cette étrange infirmerie où les élèves partagent un même rêve dans lequel ils confrontent leurs désirs. Un vrai fiasco.
Ce qui a surtout motivé mon abandon c'est ce chara-design excessivement laid, cette physionomie difforme, ratée, le tout dans un style que l'on ne retrouve plus que dans les shojo bas de gamme et sans intérêts.
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