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Critique de scaramouche66
La République de Weimar, quand elle est proclamée, deviens un magnifique espoir de démocratie pour la première fois de l'histoire de l'Allemagne.
Après les tumultes de la fin de la Première Guerre mondiale et du désordre politique qui s'ensuivit, Weimar apparaît comme une perspective de stabilité du régime démocratique, mettant fin à un cycle de violences politiques, entre nationalistes et communistes.
Mais hélas, l'économie chancelle, renouant avec le spectre de la misère et de la banqueroute financière.
Cependant, grâce aux investissements étrangers et la manne financière qui en découle, l'économie reprend. Prospérité économique rimant enfin avec stabilité politique et sociale.
L'auteur en décrivant avec précision le récit historique de la République de Weimar nous montre objectivement la vie quotidienne de l'Allemagne des années 20 ou l'effervescence culturelle, artistique, festive est à son zénith, Berlin devenant la ville des plaisirs, de l'art d'avant-garde. Théâtre, cinéma, music-hall, architecture, écriture ou peinture allemande rayonnant dans une ambiance cosmopolite et progressiste.
C'est là où on s'aperçoit que l'Allemagne de ces années était un pays de tolérance, d'ouverture ayant bien intégré toutes ses minorités qui participent activement au développement de la société allemande.
Alors comment analyser la catastrophe qui se prépare avec la menace nazie qui monte à chaque scrutin.
Accuser sciemment le peuple allemand d'avoir mis les nazis aux portes du pouvoir est trop simple, jamais les nazis n'obtiendront la majorité absolue aux scrutins présidentiels ou législatifs, prouvant que la majorité des électeurs ne voulait pas de ces criminels.
On voit que la responsabilité de l'entrée d'Hitler à la chancellerie incombe au président Hindenburg qui l'appelle et aux politiciens conservateurs qui acceptent de s'allier avec la minorité nazie formant un gouvernement d'union conservatrice.
Mais en faisant entrer le loup dans la bergerie, ils ouvrirent la boîte de Pandore fatale à la République de Weimar.
Après les tumultes de la fin de la Première Guerre mondiale et du désordre politique qui s'ensuivit, Weimar apparaît comme une perspective de stabilité du régime démocratique, mettant fin à un cycle de violences politiques, entre nationalistes et communistes.
Mais hélas, l'économie chancelle, renouant avec le spectre de la misère et de la banqueroute financière.
Cependant, grâce aux investissements étrangers et la manne financière qui en découle, l'économie reprend. Prospérité économique rimant enfin avec stabilité politique et sociale.
L'auteur en décrivant avec précision le récit historique de la République de Weimar nous montre objectivement la vie quotidienne de l'Allemagne des années 20 ou l'effervescence culturelle, artistique, festive est à son zénith, Berlin devenant la ville des plaisirs, de l'art d'avant-garde. Théâtre, cinéma, music-hall, architecture, écriture ou peinture allemande rayonnant dans une ambiance cosmopolite et progressiste.
C'est là où on s'aperçoit que l'Allemagne de ces années était un pays de tolérance, d'ouverture ayant bien intégré toutes ses minorités qui participent activement au développement de la société allemande.
Alors comment analyser la catastrophe qui se prépare avec la menace nazie qui monte à chaque scrutin.
Accuser sciemment le peuple allemand d'avoir mis les nazis aux portes du pouvoir est trop simple, jamais les nazis n'obtiendront la majorité absolue aux scrutins présidentiels ou législatifs, prouvant que la majorité des électeurs ne voulait pas de ces criminels.
On voit que la responsabilité de l'entrée d'Hitler à la chancellerie incombe au président Hindenburg qui l'appelle et aux politiciens conservateurs qui acceptent de s'allier avec la minorité nazie formant un gouvernement d'union conservatrice.
Mais en faisant entrer le loup dans la bergerie, ils ouvrirent la boîte de Pandore fatale à la République de Weimar.
