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Critique de Misterblue
Philipp Kradow, détective privé …. Qu'en dire…
Philipp Kradow veut se la jouer à la Philip Marlowe en crade, en cra,… en bof.
Ce qui sauve cette bédé, c'est que ce n'est pas une histoire en 72 pages à continuer par un second volume, mais bel et bien de courtes histoires de 3 à 5 pages chaque. On peut donc arrêter quand on veut sans perdre le fil de l'histoire et de ses problèmes. Car des problèmes, ça, ce détective s'en crée à tire-larigot par ses actions ou par ses clients.
Cela dit, s'en m'avoir totalement plus, cette bédé est amusante pour voir les détours de l'esprit de Kradow pour la résolution des enquêtes, mais ça lasse parce que déjà vu. Et c'est bien dommage. Par contre pour lire dans le train ou chez le dentiste, cela fait bien passer l'attente et là, on en redemande. le héros en devient même sympathique et attachant.
Pour parler du dessin, beh le dessin n'est pas mal, il est clair, vif et précis et parfois il faut bien y regarder pour y découvrir un truc d'amusant (ou pas…). J'ai donc beaucoup aimé.
Mais, je reste sur ma faim.
Philipp Kradow veut se la jouer à la Philip Marlowe en crade, en cra,… en bof.
Ce qui sauve cette bédé, c'est que ce n'est pas une histoire en 72 pages à continuer par un second volume, mais bel et bien de courtes histoires de 3 à 5 pages chaque. On peut donc arrêter quand on veut sans perdre le fil de l'histoire et de ses problèmes. Car des problèmes, ça, ce détective s'en crée à tire-larigot par ses actions ou par ses clients.
Cela dit, s'en m'avoir totalement plus, cette bédé est amusante pour voir les détours de l'esprit de Kradow pour la résolution des enquêtes, mais ça lasse parce que déjà vu. Et c'est bien dommage. Par contre pour lire dans le train ou chez le dentiste, cela fait bien passer l'attente et là, on en redemande. le héros en devient même sympathique et attachant.
Pour parler du dessin, beh le dessin n'est pas mal, il est clair, vif et précis et parfois il faut bien y regarder pour y découvrir un truc d'amusant (ou pas…). J'ai donc beaucoup aimé.
Mais, je reste sur ma faim.
