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Critique de Hillel
Comment résumer un tel roman. Difficile, impossible. Tout d'abord l'épaisseur du volume, c'est quelques 887 qui défilent. Deuxièmement la qualité de l'intrigue reposant sur une quantité hallucinante d'actions, de rebondissements, de retournements de situations. Enfin par la richesse des émotions décrites ici à travers notre narratrice/héroïne préférée, et à travers ses yeux. Moult sentiments, interrogations, réflexions, qui se mélangent dans sa tête et dans la notre, pour notre plus grand bonheur.
Alors effectivement on retrouve une héroïne désespérée au bord d'une falaise, perdue dans les miroirs et tous les êtres qui lui sont venus en aide viennent de mourir. C'est seule, au bord du suicide, du renoncement et de l'oubli de soi qu'elle trouve la force ultime qui va faire d'elle, une nouvelle femme. En effet, un sursaut de survie la fait réagir. Elle devient une guerrière et découvre de nouvelles armes , de nouveaux dons en son pouvoir. C'est avec une haine de vengeance, un plan machiavélique, un nouveau visage qui nous effraie et l'effraie elle-même qu'elle va à la rencontre de son ennemi, Darroc et pactise avec lui. Darroc lui promet des réponses, et lui fait découvrir la célèbre maison blanche, la maison de la concubine du roi unseelie. Cette maison lui est familière, elle découvre des souvenirs étranges et déstabilisants…
L'avis d'Audrey :
Comment parler d'une oeuvre colossale, sans la trahir, sans trop en dire, sans décevoir ?
Mon impression ultime, c'est que Karen Marie Moning est une auteur EXTRAORDINAIRE. Elle a su utiliser tous les ingrédients clés d'une bonne histoire, a su peindre avec une subtilité inouïe des personnages attachants. Elle a su faire d'un vieux mufle, odieux, bourru et macho, le plus adorable des héros. Elle a su transformer une jeune fille « rose et romantique » en véritable guerrière maléfique. Elle a su nous faire douter à chaque page, nous demandant qui est qui ? Nous attacher à une gamine ultra marrante. Les page du « Dani Daily » est une trouvaille qui apporte sa bonne touche de fraîcheur. Car oui comme dans les autres tomes on a de l'humour. On a du décalé. On a de l'amour, beaucoup de sensualité, et on a de la rage.
Enfin et surtout, KMM, sait manier la plume avec une finesse, une poésie, magnifique. Il y a certes, de longs passages descriptifs. Je pense à la maison blanche par exemple. de longues introspections où Mac s'interroge et pose à plat ses sentiments. de longues discussion avec le « Livre »… Mais tout ça est si bien écrit, retranscrit, juste, que cela se lit comme du petit lait. Les 887 pages passent presque trop vite. A la fin, on est nostalgique, on en redemande.
Lien : http://leslivresdalily.blogs..
Alors effectivement on retrouve une héroïne désespérée au bord d'une falaise, perdue dans les miroirs et tous les êtres qui lui sont venus en aide viennent de mourir. C'est seule, au bord du suicide, du renoncement et de l'oubli de soi qu'elle trouve la force ultime qui va faire d'elle, une nouvelle femme. En effet, un sursaut de survie la fait réagir. Elle devient une guerrière et découvre de nouvelles armes , de nouveaux dons en son pouvoir. C'est avec une haine de vengeance, un plan machiavélique, un nouveau visage qui nous effraie et l'effraie elle-même qu'elle va à la rencontre de son ennemi, Darroc et pactise avec lui. Darroc lui promet des réponses, et lui fait découvrir la célèbre maison blanche, la maison de la concubine du roi unseelie. Cette maison lui est familière, elle découvre des souvenirs étranges et déstabilisants…
L'avis d'Audrey :
Comment parler d'une oeuvre colossale, sans la trahir, sans trop en dire, sans décevoir ?
Mon impression ultime, c'est que Karen Marie Moning est une auteur EXTRAORDINAIRE. Elle a su utiliser tous les ingrédients clés d'une bonne histoire, a su peindre avec une subtilité inouïe des personnages attachants. Elle a su faire d'un vieux mufle, odieux, bourru et macho, le plus adorable des héros. Elle a su transformer une jeune fille « rose et romantique » en véritable guerrière maléfique. Elle a su nous faire douter à chaque page, nous demandant qui est qui ? Nous attacher à une gamine ultra marrante. Les page du « Dani Daily » est une trouvaille qui apporte sa bonne touche de fraîcheur. Car oui comme dans les autres tomes on a de l'humour. On a du décalé. On a de l'amour, beaucoup de sensualité, et on a de la rage.
Enfin et surtout, KMM, sait manier la plume avec une finesse, une poésie, magnifique. Il y a certes, de longs passages descriptifs. Je pense à la maison blanche par exemple. de longues introspections où Mac s'interroge et pose à plat ses sentiments. de longues discussion avec le « Livre »… Mais tout ça est si bien écrit, retranscrit, juste, que cela se lit comme du petit lait. Les 887 pages passent presque trop vite. A la fin, on est nostalgique, on en redemande.
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