Juillet à La Rochelle, deux femmes, deux mères sont retrouvées égorgées assises devant leur fils âgé de dix ans, les yeux bandés, des écouteurs vissés aux oreilles, vivants. le commissaire Baccaro fait appel à Victor Caranne, psychologue carcéral.
J'ai retrouvé avec plaisir les personnages du roman précédent
Somb. Ils sont tellement attachants avec leurs fêlures. On retrouve la dynamique mise en place dans le précédent opus et qui permet de comprendre leurs interactions (surtout entre Babiak et Victor). L'intrigue, l'écriture est prenante où j'ai cherché à savoir qui était l'auteur des crimes avec des dialogues réussis percutants parsemés de trait d'humour. Je me suis doutais d'une scène et j'ai eu raison. Peut-être que sans cela je le mettrai sur le même pied d''égalité que
Somb et, par conséquent, légèrement en dessous.
Je conclurai par une phrase concernant le tueur : ce n'est qu'un homme, pas un monstre. Une autrice à suivre !
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