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Critique de SabInstant
Mercedes Haering, 83 ans, a connu une enfance intolérable dans le Jura Suisse. Violée, elle accouche, quinze jours avant de souffler ses onze bougies. Plus jeune encore, elle devait rejoindre un Monsieur à la cave, l'y caresser puis remettre à sa mère l'argent reçu en échange... La suite est du même acabit, tant en institutions, qu'une fois adulte. Des années de cavale vécues aux côtés d'un malfrat aux tendances proxénète l'ont aussi forcée à fréquenter la pègre, à Paris, Marseille, Metz et Nancy. Car qu'importe le lieu, lorsque le sort s'acharne, il retrouve toujours sa proie et exécute son dessein.
Encore une fois, il est très difficile de se prononcer sur ce genre de travail, surtout quand on connaît toute l'horreur vécue par Mercedes Haering ...
Il ne m'appartient pas de « critiquer » ce récit.
Mercedes Haering n'a pas eu la chance d'avoir une enfance dite « normale » et malheureusement, le bonheur, elle ne l'a jamais vraiment connu...
Si, à l'heure actuelle, il suffit parfois d'un rien pour que les services sociaux interviennent. Dans les années 1940, en Suisse, les enfants étaient considérés comme les biens de leurs parents, comme une « chose » à louer, vendre, échanger ... Ce n'est qu'en 1989 que l'enfant est finalement devenu une personne à part entière.
J'ai été ému par l'histoire de Mercedes Haering, horrifié par certaines scènes, par l'échec des professionnels et de la justice !
Toutefois, je dois reconnaître que je n'ai pas aimé lire ce livre. J'ai trouvé ce récit un peu trop fouilli ; il m'a été difficile de me retrouver. Et bien que j'aie eu beaucoup d'empathie pour Mercedes, c'est tout... Il n'y a rien eu de plus. J'admets même avoir sauté certains paragraphes, c'est vous dire ! Et franchement, si cette histoire avait été plus longue, elle aurait probablement fini en abandon ..
Bref, petite déception pour ma part, je suis navrée, mais ça ne l'a pas fait avec moi ...
Encore une fois, il est très difficile de se prononcer sur ce genre de travail, surtout quand on connaît toute l'horreur vécue par Mercedes Haering ...
Il ne m'appartient pas de « critiquer » ce récit.
Mercedes Haering n'a pas eu la chance d'avoir une enfance dite « normale » et malheureusement, le bonheur, elle ne l'a jamais vraiment connu...
Si, à l'heure actuelle, il suffit parfois d'un rien pour que les services sociaux interviennent. Dans les années 1940, en Suisse, les enfants étaient considérés comme les biens de leurs parents, comme une « chose » à louer, vendre, échanger ... Ce n'est qu'en 1989 que l'enfant est finalement devenu une personne à part entière.
J'ai été ému par l'histoire de Mercedes Haering, horrifié par certaines scènes, par l'échec des professionnels et de la justice !
Toutefois, je dois reconnaître que je n'ai pas aimé lire ce livre. J'ai trouvé ce récit un peu trop fouilli ; il m'a été difficile de me retrouver. Et bien que j'aie eu beaucoup d'empathie pour Mercedes, c'est tout... Il n'y a rien eu de plus. J'admets même avoir sauté certains paragraphes, c'est vous dire ! Et franchement, si cette histoire avait été plus longue, elle aurait probablement fini en abandon ..
Bref, petite déception pour ma part, je suis navrée, mais ça ne l'a pas fait avec moi ...
