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Critique de lazuli
Esme McCallan aide son frère Jaimie, un jeune notaire, dans son travail journalier. Elle a un air sévére et strict qui lui donne un côté vieille fille rabat-joie et rien ne la passionne plus que son travail. Pour rien au monde elle ne souhaite montrer qu'elle aimerait bien se marier et avoir des enfants car au fond d'elle bat le coeur d'une véritable sufragette. Très dévoué à son frère qui se remet difficilement d'un chagrin d'amour, elle accepte de se rendre en écosse près de Catriona, l'ancien amour de celui-ci, qui réclame son aide dans une affaire délicate. Pour ce faire, son frère décide de l'y envoyer en compagnie de Quinn MacLachlann, son associé qui a pourtant une affreuse réputation de débauché mais dont la puissante famille leur ouvrira les portes de l'aristocratie où il devront mener l'enquête.
Dès le début, on a bien du mal a cerner l'utilité de cette mission. Les frais engagés et la mise en danger de la réputation d'Esme lors de cette soi-disant enquête est totalement improbable. Tout est pretexte a confronter la jeune femme rigide avec le sulfureux Quinn. Et comme ils doivent se faire passer pour mari et femme, inévitablement, les embrouilles commencent.
Même si les personnages sont sympathiques, particulièrement Esme avec ses idées modernes et son gout prononcé pour défendre les droits des femmes, ils restent cependant très caricaturaux ; tout comme les situations sans surprise. Il ne se passe pas grand chose, on fini par s'ennuyer. de temps à autre, on reléve le nez grâce à quelques dialogues qui font mouche mais cela ne suffit pas à maintenir l'intéret.
La platitude de l'intrigue est desespèrante et le récit s'achève dans une overdose de bons sentiments et de clichés assomants.
On a le sentiment d'avoir lu une romance historique destinée à un public d'adolescentes et c'est frustrant.
Dès le début, on a bien du mal a cerner l'utilité de cette mission. Les frais engagés et la mise en danger de la réputation d'Esme lors de cette soi-disant enquête est totalement improbable. Tout est pretexte a confronter la jeune femme rigide avec le sulfureux Quinn. Et comme ils doivent se faire passer pour mari et femme, inévitablement, les embrouilles commencent.
Même si les personnages sont sympathiques, particulièrement Esme avec ses idées modernes et son gout prononcé pour défendre les droits des femmes, ils restent cependant très caricaturaux ; tout comme les situations sans surprise. Il ne se passe pas grand chose, on fini par s'ennuyer. de temps à autre, on reléve le nez grâce à quelques dialogues qui font mouche mais cela ne suffit pas à maintenir l'intéret.
La platitude de l'intrigue est desespèrante et le récit s'achève dans une overdose de bons sentiments et de clichés assomants.
On a le sentiment d'avoir lu une romance historique destinée à un public d'adolescentes et c'est frustrant.
