Livre cadeau que je n'aurais sans doute pas acheté, mais que j'ai pris plaisir à lire. Ce roman (un peu à l'eau de rose) nous entraîne à Venise, au XVIIIe siècle, dans l'univers d'un pensionnat recueillant des jeunes filles abandonnées à la naissance par leurs parents et vouées à honorer Dieu par le chants et la musique. L'une d'elle, Ada, est encouragée dans son art par vivaldi. On suit son histoire à travers le journal intime qu'elle a laissé. Journal retrouvé avec une partition révélant peut-être une oeuvre inconnue du célèbre compositeur baroque. Une fin pleine d'émotion qui rend un bel hommage aux pensionnaires anonymes de l'Ospedale della Pietà.
Commenter  J’apprécie         60