J'ai eu beaucoup de mal à me faire au dessin choisi par
Jérémie Moreau pour son diptyque – j'avais bien plus accroché au Singe de Hartlepool. J'ai d'ailleurs laissé de côté ma lecture, avant de la reprendre, tiraillée par l'envie de connaître le destin de Max. C'est qu'il est attachant, ce grand échalas qui se promène sur les courts sans passion, qui tape la balle parce que c'est ce qu'il doit faire, qui se laisse dicter sa vie par son père aussi autoritaire que minuscule. On voudrait lui faire un câlin autant que lui mettre une claque, le prendre sous notre aile et lui faire découvrir tout ce qu'il a manqué pendant toutes ces années. Il croisera heureusement la route de personnes qui sont prêtes à lui consacrer du temps en ce sens.
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