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Critique de Bequelune
Ce manga se compose de quatre tomes plutôt denses : l'histoire aurait pu tenir sur le double de volumes au moins et il est appréciable, pour une fois, de ne pas avoir besoin d'acheter beaucoup de tomes pour connaitre la fin de l'histoire !
L'histoire de Tajikarao se passe dans un petit village dans les montagnes du Japon qui n'est accessible que par un petit chemin de terre, ce qui l'a mis à l'écart du monde moderne. Dans ce village, on y vit toujours selon un mode de vie ancestral, en cultivant le riz et en faisant des offrandes pour le dieu protecteur local, Tajikarao. Ce village, pourtant, est en crise : déserté par les jeunes qui partent rejoindre la ville, il n'est presque plu peuplé que de vieillards.
Deux jeunes musiciens galériens, qui vivotent en jouant dans les rues des villes du pays, tombent par hasard dans ce hameau après une panne d'essence. Un autre jeune, lui issu du village, revient au hameau : il a des dettes auprès de la mafia et souhaite se cacher.
Ces évènements inattendus vont bousculer la vie paisible du hameau. Et l'on va voir que les vieux savent se défendre, surtout quand ils savent qu'ils peuvent compter sur leur dieu Tajikarao !
Ce manga mériterait d'être plus connu. le dessin est joli, plutôt dans une veine réaliste pour un seinen. L'histoire, articulée autour du mythe du dieu local, se concentre davantage sur l'âme des habitants que sur leurs exploits. Car ce manga est une sorte d'ode aux traditions ancestrales et à l'écologie qui permettent de garder des repères dans la vie dissolue crée par le monde moderne.
L'histoire de Tajikarao se passe dans un petit village dans les montagnes du Japon qui n'est accessible que par un petit chemin de terre, ce qui l'a mis à l'écart du monde moderne. Dans ce village, on y vit toujours selon un mode de vie ancestral, en cultivant le riz et en faisant des offrandes pour le dieu protecteur local, Tajikarao. Ce village, pourtant, est en crise : déserté par les jeunes qui partent rejoindre la ville, il n'est presque plu peuplé que de vieillards.
Deux jeunes musiciens galériens, qui vivotent en jouant dans les rues des villes du pays, tombent par hasard dans ce hameau après une panne d'essence. Un autre jeune, lui issu du village, revient au hameau : il a des dettes auprès de la mafia et souhaite se cacher.
Ces évènements inattendus vont bousculer la vie paisible du hameau. Et l'on va voir que les vieux savent se défendre, surtout quand ils savent qu'ils peuvent compter sur leur dieu Tajikarao !
Ce manga mériterait d'être plus connu. le dessin est joli, plutôt dans une veine réaliste pour un seinen. L'histoire, articulée autour du mythe du dieu local, se concentre davantage sur l'âme des habitants que sur leurs exploits. Car ce manga est une sorte d'ode aux traditions ancestrales et à l'écologie qui permettent de garder des repères dans la vie dissolue crée par le monde moderne.
