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Critique de pompimpon
Ils sont neuf à se retrouver à Tranquillum House, pour une cure de bien-être qualifiée de révolutionnaire par des amis pour les uns, la publicité pour d'autres.
Chacun avec ses difficultés, ses doutes, des échecs à digérer, une vie à reconstruire, un deuil à affronter.
Qu'à cela ne tienne, Masha, la directrice, charismatique de Tranquillum House, leur promet qu'ils repartiront transformés dix jours plus tard.
Mais elle ne leur dit pas quels moyens elle compte employer pour obtenir ce fabuleux résultat.
J'ai marché longtemps, plus de la moitié du bouquin, ça me distrayait bien et je voulais savoir où tout ça irait. Même si je trouvais les personnages relativement caricaturaux (mais comment y échapper ?), ils étaient plutôt bien croqués et certaines situations étaient assez drôles.
Et puis, et puis… une certaine lassitude, une impression de sur-place, de redites, des maladresses et, quand même, un certain manque de finesse sont venus à bout de mon enthousiasme initial.
L'acmé dont je ne dirais rien m'a achevée par sa longueur erratique, et j'ai eu du mal à finir après ça, parce que je me fichais totalement de savoir ce qui leur arrivait ensuite à tous.
Peut-être qu'à la plage, sous le parasol, ça passerait mieux.
Mais ça fait un moment que je n'ai pas mis les pieds à la plage, quelle que soit la saison !
Chacun avec ses difficultés, ses doutes, des échecs à digérer, une vie à reconstruire, un deuil à affronter.
Qu'à cela ne tienne, Masha, la directrice, charismatique de Tranquillum House, leur promet qu'ils repartiront transformés dix jours plus tard.
Mais elle ne leur dit pas quels moyens elle compte employer pour obtenir ce fabuleux résultat.
J'ai marché longtemps, plus de la moitié du bouquin, ça me distrayait bien et je voulais savoir où tout ça irait. Même si je trouvais les personnages relativement caricaturaux (mais comment y échapper ?), ils étaient plutôt bien croqués et certaines situations étaient assez drôles.
Et puis, et puis… une certaine lassitude, une impression de sur-place, de redites, des maladresses et, quand même, un certain manque de finesse sont venus à bout de mon enthousiasme initial.
L'acmé dont je ne dirais rien m'a achevée par sa longueur erratique, et j'ai eu du mal à finir après ça, parce que je me fichais totalement de savoir ce qui leur arrivait ensuite à tous.
Peut-être qu'à la plage, sous le parasol, ça passerait mieux.
Mais ça fait un moment que je n'ai pas mis les pieds à la plage, quelle que soit la saison !
