Quel plaisir, un livre avec une si remarquable intensité dramatique ! Je ne l'ai pas lâché avant de connaître la fin.
Avant de commencer ma chronique, une mention pour le beau (et pertinent) titre qui vient de la façon dont la protagoniste vise ses ennemis.
Le Biscantin, un état paisible qui a résolu ses problèmes sociaux, est attaqué par le Vikmund, un état sans pitié. J'aurais beaucoup aimé en savoir plus sur le Biscantin (une utopie).
C'est le baptême du feu pour Solveig qui était encore au lycée quelques mois auparavant.
Derrière la lunette de son fusil, elle vise, appuie sur la gâchette et abat un jeune officier de l'armée ennemi.
On suit l'évolution de Solveig dans ce monde imaginaire. Un excellent livre.
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