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Critique de ange77


Petite précision d'importance :
cette critique se base essentiellement sur la version audio du livre.


Avant tout, je remercie naturellement l'équipe de Babelio et les éditions HARDIGAN pour l'envoi des cédéroms et le petit mot me souhaitant une bonne écoute - même si cela n'a malheureusement pas été le cas, ça fait toujours plaisir malgré tout.


Le récit en tant que tel :

Comme vous l'aurez peut-être compris, l'écoute de celui-ci n'a pas vraiment réussi à me convaincre... Et j'en suis la première sincèrement désolée.
Ayant lu quelques critiques sur l'histoire, je suis certaine qu'elle aurait pu me plaire. D'ailleurs, si l'occasion de le lire en livre - papier ou numérique - se présente, je serai ravie de pouvoir enfin m'y plonger pleinement et surtout, agréablement.
Ce qui ne fût pas le cas ici...

Le fait est que - pour des raisons que j'explique plus loin - , je n'ai simplement jamais réussi à dépasser les dix premiers chapitres... Il m'est donc impossible de juger "L'Arche" à proprement parler.
En revanche, je peux discuter de l'outil "livre parlé"...


La version parlante, donc...

Comme pour les autres supports, l'outil a ses avantages et ses inconvénients, ses amateurs et ses détracteurs.

Personnellement, je l'ai coché pour ça : parce que c'était un audiolivre, justement.
Et mon premier, pour le coup.
Je dois avouer que si j'étais emballée à l'idée de tester l'expérience, j'avais tout de même quelques doutes - des appréhensions plus que de véritables préjugés.
Je savais pertinemment l'importance qu'aurait le choix de la voix...


Moi qui lis toujours plusieurs bouquins en même temps, je me disais que ce serait l'idéal. Une fois la fatigue des yeux (que nous connaissons tous ^^) devenue trop forte, voire insupportable - les allumettes ne suffisant plus à maintenir ouvertes de trop lourdes paupières - , et alors que l'esprit lui, en veut encore, l'écoute d'un titre audio se présentait comme LA solution.
Ça l'est peut-être, probablement même.
Mais on revient à mon principal souci : l'influence, indéniable, de la voix du "liseur".

Car au fond, ce qui n'a réellement pas su me convaincre ici, c'est principalement le narrateur, Nicolas Planchais.
Je n'ai pas réussi à accrocher au récit, pourtant tentant, parce que je ne pouvais pas me faire à sa voix, aux intonations qu'il employait, plus particulièrement. L'héroïne (dont on apprend rapidement qu'elle a un accent langoureux et traînant) n'en est qu'un exemple parmi d'autres - mais sans aucun doute, celle avec qui j'avais le plus de mal à composer, uniquement à cause de la phonation que lui donnait le narrateur.

Plus j'insistais, plus cela devenait suppliciant...

Même mon homme, qui a un jour surpris l'écoute au hasard, alors que j'essayais sans écouteurs, m'a retourné un regard qui en disait long. Bien que n'ayant pas saisi la teneur du récit, qu'il n'a d'ailleurs pas jugé, il m'a vite avoué qu'il serait incapable d'en entendre d'avantage...



Je tiens cependant à préciser que l'expérience ne m'a pas totalement rebutée. Je sais qu'il existe nombre d'extraordinaires talents dans le domaine, pas si facile, de la narration.
Mais il faut se rendre à l'évidence : l'exercice n'est pas donné à tout l'monde.
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