J'ai un peu de mal avec les histoires de prophéties, les invocations de Dieux, et tout ce qui tourne autour du paganisme. Conan n'a jamais été ma tasse de thé et cet opus n'y changera rien. ça zigouille à tour de bras, dans une débauche de mouvements, d'angles de vue dynamiques, d'images chocs, et cette boucherie
sauvage est accompagné d'un texte emphatique, tout comme la mise en page et le graphisme, fouillis, baroque, lyrique et imposant, tant avec l'architecture qu'avec les personnages, mais ça va jusqu'à l'écoeurement, c'est trop. L'histoire passe en superficie : de l'action, de la baston, des décors, en veux-tu en voilà, mais les personnages restent sans consistance. J'ai trouvé ça bien fait, mais pas d'un grand intérêt, sinon d'apporter du crédit aux parodies de Coucho (Le Banni).
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