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Critique de kalimera


Charles Blakey, la trentaine, noir, inadapté social, voleur, tricheur, menteur est en passe d'avoir vraiment raté sa vie.
Mais un jour, un blanc, Monsieur Anniston Bennet sonne à sa porte et l'oblige littéralement à lui louer le sous-sol de la maison familiale.
Cela tombe bien, Charles est fauché et risque de perdre une maison qui a vue passer huit générations de Blakey.
Arrivent les éléments que devra monter Charles pour aménager et accueillir ce drôle de blanc, il s'agit d'une cellule en kit !
Anniston Bennet s'y fait enfermer avec quelques livres et du papier, avec pour seul compagnon, son gardien perplexe et quelque peu inquiet.
Un face à face étonnant s'engage au fil des semaines, un chemin de rédemption se dessine, un combat des idées, du bien et du mal se forme, une thérapie se met en place.
La question est de savoir pour lequel des protagonistes : le prisonnier volontaire ou le geolier forcé ?
Walter Mosley, l'auteur de ce roman, joue avec bonheur de nos certitudes, nos peurs et nos doutes.
Mais je peux dire que je n'apprécierais pas d'accueillir Monsieur Bennet dans ma propre cave, cela c'est une évidence !
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