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Critique de lecassin


La perte d'un être cher. La perte de la mère. Ici la perte de D, comme deuil, comme Denise…
« le fils est désormais un ayant droit. Mais d'habite encore les lieux de toute évidence. »
Le fils, c'est Jaboc, désormais seul, et seul devant la page blanche…
De courts textes, quelques notes, quelques vers libres, très libres, de la prose… Avec un point commun : la musique des mots. Les mots qui chantent, les mots qui pleurent, les mots qui évoquent, suggèrent… La mère, la mer, la Normandie littorale, les épines blanches, que dans mon Cotentin natal on nomme plutôt aubépine…
La musique des mots accompagnée à la planche à dessin par de magnifiques illustrations dues à Géraldine Trubert. Minimalistes, en début et fin de volume, comme pour ne pas déranger les mots. Une palette couleur du temps Normand, parfois… Recueillement… En couverture, également ; une couverture cartonnée pour cette belle édition originale dont ne manquera pas de s'enorgueillir ma bibliothèque, et moi-même, bibliophile…
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