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Critique de Theoma
Anne part à la recherche de sa soeur qui a disparu...
Il existe des auteurs avec qui on entretient une relation privilégiée. Ils sont là, sur l'étagère. Quand ils nous manquent, on effleure leurs couvertures. Parfois, ça ne suffit pas, l'absence dévore, on relit avec avidité des mots anciens qui nous ont plus.
En attendant une nouvelle rencontre, on en parle autour de soi, on prête les pages à tout va. Et si, par malheur, le livre nous est rendu par un lecteur ô combien déçu, on ne comprend pas, et pire, on ne sait pas si on pardonnera, si l'amitié survivra... ;-)
Et puis elle monte lentement pour éclater en feu d'artifice. La délicieuse surprise de découvrir un nouveau roman en librairie. On rentre chez soi en courant. Les enfants, ce soir, c'est frigo portes ouvertes ! Maman est en apnée. Pourvu que l'on ne soit pas déçu, ce serait terrible mais pas irréversible. Ne tournons pas trop vite les pages, il faut savourer, apprécier mais ce serait bien trop raisonnable.
Quel livre ! Quelle histoire ! Une ode à la vie, celle qui fait du bruit. Un manifeste contre le principe de précaution. C'est ici. C'est maintenant ! En dire plus gâcherait un incroyable plaisir de lecture.
A la dernière page, des envies de folie, de Vie MAJUSCULE et d'air frais. Oui, ça se passe comme ça entre Jean-Claude Mourlevat et moi.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
Il existe des auteurs avec qui on entretient une relation privilégiée. Ils sont là, sur l'étagère. Quand ils nous manquent, on effleure leurs couvertures. Parfois, ça ne suffit pas, l'absence dévore, on relit avec avidité des mots anciens qui nous ont plus.
En attendant une nouvelle rencontre, on en parle autour de soi, on prête les pages à tout va. Et si, par malheur, le livre nous est rendu par un lecteur ô combien déçu, on ne comprend pas, et pire, on ne sait pas si on pardonnera, si l'amitié survivra... ;-)
Et puis elle monte lentement pour éclater en feu d'artifice. La délicieuse surprise de découvrir un nouveau roman en librairie. On rentre chez soi en courant. Les enfants, ce soir, c'est frigo portes ouvertes ! Maman est en apnée. Pourvu que l'on ne soit pas déçu, ce serait terrible mais pas irréversible. Ne tournons pas trop vite les pages, il faut savourer, apprécier mais ce serait bien trop raisonnable.
Quel livre ! Quelle histoire ! Une ode à la vie, celle qui fait du bruit. Un manifeste contre le principe de précaution. C'est ici. C'est maintenant ! En dire plus gâcherait un incroyable plaisir de lecture.
A la dernière page, des envies de folie, de Vie MAJUSCULE et d'air frais. Oui, ça se passe comme ça entre Jean-Claude Mourlevat et moi.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
