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Critique de Arthore
Salué par le prix Joseph Kessel en 2014, les Évaporés, roman de Thomas Reverdy, nous plonge dans le Japon post Fukushima et nous fait découvrir ces personnes qui du jour au lendemain ont décidé de disparaître sans laisser d'adresse. Elles sont plus de 80000 chaque année au Japon.
Les autorités ne les rechercheront pas… ce sont des adultes et il s'agit de disparitions volontaires… aussi seule la famille peut vouloir chercher à comprendre.
C'est ce que Yukiko va entreprendre suite à la disparition de son père.
Cet album est une reprise fidèle du roman, traité en noir et blanc pour donner plus de profondeur à l'atmosphère pesante de l'histoire.
Album d'atmosphère qui me laisse un sentiment mitigé sans trop pouvoir expliquer pourquoi. Les personnages ne sont pas particulièrement attachants et le dessin assez dur. Certes le scénario est rythmé mais la fin est traitée assez brièvement.
Donc je préfère laisser chacun se faire un avis…
Les autorités ne les rechercheront pas… ce sont des adultes et il s'agit de disparitions volontaires… aussi seule la famille peut vouloir chercher à comprendre.
C'est ce que Yukiko va entreprendre suite à la disparition de son père.
Cet album est une reprise fidèle du roman, traité en noir et blanc pour donner plus de profondeur à l'atmosphère pesante de l'histoire.
Album d'atmosphère qui me laisse un sentiment mitigé sans trop pouvoir expliquer pourquoi. Les personnages ne sont pas particulièrement attachants et le dessin assez dur. Certes le scénario est rythmé mais la fin est traitée assez brièvement.
Donc je préfère laisser chacun se faire un avis…
